Près de la moitié des jeunes Italiens sont intolérants à l'égard des étrangers ou carrément xénophobes, selon une étude rendue publique aujourd'hui à la Chambre des députés à l'initiative de son président qui a appelé la classe politique à élaborer "un modèle italien d'intégration".
L'enquête d'opinion effectuée par l'institut SWG auprès d'un échantillon représentatif de 2.000 jeunes de 18 à 29 ans montre que 45,8% d'entre eux expriment une forme d'hostilité envers les étrangers ou directement de la xénophobie, alors que seulement 39,6% se disent "ouverts" aux étrangers.
Au sein des jeunes qualifiés de "fermés", SWG distingue trois groupes: un premier représentant 15,3% du total qui exprime surtout une "phobie envers les Roumains-tziganes-Albanais" et en majorité composé de femmes (56%).
Un deuxième groupe, le plus petit mais le plus extrême, réunit les comportements ouvertement racistes avec 10,7% des jeunes. Le troisième groupe (20%) rassemble les "xénophobes", qui excluent de recourir à la violence mais souhaitent que les étrangers vivent loin d'eux, de préférence hors d'Italie. Ce sont surtout des garçons d'une vingtaine d'années.
Le Figaro - 18.02.10
Commentaires
non! simplement des jeunes Italiens ,européens qui veulent retrouver une Italie Italienne ! quoi de plus normale en somme! salutations.
«jeunes Italiens sont intolérants à l'égard des étrangers ou carrément xénophobes» : comme d’habitude, figaro, en bon valet de ses maîtres nous gratifie de sa propagande nauséabonde ! Il ne se pose pas la question de la xénophobie des immigrés, mais l’inverse. C’est un comble : qui donc s’installe chez qui ? Hé figaro, tu réponds ? Figaro-ci, figaro-là à vous servir, voyez-vous je m’empresse……
Nous sommes tous de JEUNES ITALIENS!
Le malheur veut que ces Italiens exportent leur racisme à l'étranger comme ce fut le cas durant les dernières fêtes de fin d'année dans la station d'hiver de Crans-Montana en Suisse.
Après avoir copieusement injurié un saisonnier allemand, serveur de son état, ils l'ont tabassé et jeté au sol. Il s’en suivi une bagarre générale dont profitèrent des petits suisses aux bras noueux pour passer leur plaisir sur des Italiens de passage.
Résultat des courses nos capiani (injure suisse pour les italiens) furent tabassé à leur tour et finir leur séjour dans un hôpital régional au lieu de s’adonner au plaisir du ski et de l’après-ski.
Conclusion : entre membre de l'UE cela fait quelque peu désordre, non ?