La famille de John Demjanjuk et le Procureur ont annoncé que les conditions physiques de l'homme de 90 ans semblaient se détériorer davantage chaque jour. Il a été hospitalisé pour une deuxième journée consécutive, ce qui oblige à reporter son procès en Allemagne.
Albrecht Stein, l'un des médecins chargés par la justice de surveiller la santé de Demjanjuk, a précisé avoir envoyé le suspect dans une clinique privée à Harlaching pour effectuer des tests. Il pense que les douleurs dont s'est plaint Demjanjuk sont relativement graves et il n'a pas voulu courir de risques de crise cardiaque en plein procès.
D'origine ukrainienne, Demjanjuk, qui a émigré aux Etats-Unis en 1952, est jugé pour complicité dans la mort de 27 900 personnes dans le camp d'extermination nazi de Sobibor. Depuis l'ouverture du procès le 30 novembre dernier, au moins une demi-douzaine de séances ont été annulées en raison de ses problèmes de santé.
Son fils, John Demjanjuk Jr., a affirmé que la maladie de la moelle osseuse dont souffre son père "est une véritable torture".
Commentaires
il est évident qu,à cet age et en plus souffrant de problémes de santé, il vaudrait mieux le laisser tranquillement terminer sa mission sur terre!! salutations.
Il va mourir mais chez les sionistes,il y a une espèce de sentiment de jubilation à persécuter et à signer l'acte de décès des grands vieillards indo-européens.
C'est leur marque,ils portent cela en eux!
On a pu le constater à maintes reprises en France au cours de la dernière décennie.
L’esprit de vengeance qui anime les membres de la secte du peuple élu est incommensurable.
La seule méthode de les combattre est celle de les ignorer totalement. Il ne faut jamais leur donner la moindre occasion d’ouvrir le livre des lamentations (éternelles) mais au contraire avec beaucoup d’esprit mettre toutes dérives sur le compte de malades mentaux soignés par des psychiatres juifs détraqués par les théories fumeuses du pervers et inceste Sigmund Freud.
C’est cet état d’esprit qui m’anime depuis fort longtemps quitte à l’occasion de placer un bon coup de pied dans les talons du scélérat qui me précède noyé dans la foule.