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La négociation pour la paix est "extraordinairement difficile", a-t-il notamment indiqué, précisant que pour lui, les constructions n'en sont qu'un "élément mineur".
Après un entretien d'un peu plus d'une heure, les deux hommes se sont serré la main sur le perron de l'hôtel devant les caméras et les micros.
Le président Prasquier a ensuite détaillé pour les journalistes son message au président de l'Autorité palestinienne, insistant sur "l'attachement fort des juifs vis-à-vis des juifs d'Israël". "De par leur histoire, les juifs forment un peuple, tout comme les palestiniens", a-t-il dit.
"Les accords diplomatiques", a-t-il poursuivi, "ne se font pas seulement sur le papier mais aussi dans les têtes, c'est pourquoi il faut mettre en place une éducation de la paix, renoncer à l'éducation de la haine, c'est la meilleure façon de parvenir à la paix".
Dimanche soir Mahmoud Abbas s'était entretenu pendant près de deux heures avec une vingtaine de personnalités françaises juives venues exprimer leur soutien au processus de paix israélo-palestinien.
Parmi elles, le philosophe Alain Finkielkraut, les journalistes Jean-Pierre Elkabbach et Ruth Elkrief, la dirigeante de l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), Arielle Schwab, et le président du Mémorial de la Shoah, Eric de Rothschild.
Le Crif se définit comme "la voix officielle et politique" de la communauté juive en France qui compte quelque 600.000 personnes.
AFP. 27/09/10
Commentaires
A-t-il réussi à lui vendre la corde pour le pendre ?
«la communauté juive en France qui compte quelque 600.000 personnes» : comme c’est curieux depuis un siècle ou à peu près, ils sont toujours 600000 ! Ce doit être un chiffre magique.
L'éducation pour la paix ? Pas dans les écoles israëliennes, en tout cas.
Quant à Abbas, est-il le bouclier, et le Hamas le glaive ? Plus sûrement est-il le larbin des sionistes. Une aumône des Américains, et on met le drapeau dans la poche. Il croit peut-être (mais il n'est sans doute pas si sot : un traitre sait ce qu'il fait) qu'il peut sauver quelque chose en rampant. Le pauvre restera en caleçon (du moins le peuple palestinien, car ce serait étonnant que les aparatchiks de Fatah ne tirent pas quelque subside de leur jeu trouble).
La véritable objectif de ces simagrées n'est-il pas d'amuser la galerie pendant qu'on aiguise les couteaux, en vue d'égorger le peuple iranien ?
Cher abad, toujours un nombre qui commence par 6, chiffre qui a un sens dans la Kabbale. Les nombres sont également des lettres. L'étude de la Kabbale est interdite aux femmes.
@ Claude BourrinetClaude Bourrinet: vous écrivez: "Le véritable objectif de ces simagrées n'est-il pas d'amuser la galerie pendant qu'on aiguise les couteaux, en vue d'égorger le peuple iranien ?" et votre conclusion est d'autant plus juste que Avigdor Liberman vient de déclarer qu'avant tous pourpalers de paix, il fallait d'abord traiter la question iranienne, "parce que c'est l'Iran qui fournit en armes le Hamas"! Sans l'Iran, dit-il, le Hamas n'existerait pas! Donc il faut détruire l'Iran...
Ce n'est pas la paix qu'ils veulent (ils ne l'ont jamais voulue) mais la guerre contre l'Iran!
Oui, toutes ces simagrées sont écoeurantes, elles font diversion! Abbas est un traître, certainement très bien payé (non, il n'est pas sot), qui doit être protégé jour et nuit par le Mossad, car sa tête est certainement mise à prix par le Hamas.
Pauvre peuple palestinien! Si vous saviez comme tous ces gens, femmes, enfants dans des camps, en 2010, avec barbelés et miradors, sans avenir, trahis, me bouleversent!
Mais un peuple qui a un tel courage, une telle vitalité, et un tel honneur, commande le respect. Il n'est pas à genoux devant les maîtres du monde et c'est bien l'occident atlanto-sioniste qui est à plaindre et qui devrait avoir HONTE!
feu le ' vieux' yasser arafat était aussi un pourri !! une fois de plus mieux vaut étre au sommet qu, a la base de la pyramide!
les dirigeants ménent une bonne vie et les populations croupissent dans des camps!!
cela ne changera guére !!
salutations.
@ parvus: je ne pense pas que l'on puisse comparer Yasser Arafat à Mahmoud Abbas. A la fin de sa vie, Arafat était enfermé à Ramallah, à la "Mouqata", par les Israéliens, il n'en est sorti que pour aller mourir à Paris, assez mystérieusement. Israël a refusé qu'on l'enterre à Jérusalem, sa ville natale.