Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Val d'Oise: Denise, 85 ans, tuée dans sa maison

Denise 85 ans.jpg

La maison de Denise - (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

Toute une ville est sous le choc. Hier matin, Denise D., 85 ans, a été découverte morte dans son petit pavillon de l’Ancien-Chemin-de-Paris à Saint-Leu-la-Forêt. La vieille dame, une figure locale, a été retrouvée ligotée et aurait été violemment frappée. D’après nos informations, le drame se serait noué dans la soirée de dimanche.

Un ou plusieurs individus auraient pénétré dans la maison aux murs gris et aux volets vert et rose avant de fouiller les lieux et de s’attaquer à Denise, qui vivait seule en compagnie de son chien. Dans le voisinage, personne n’a entendu quoi que ce soit. Ce n’est qu’hier matin qu’un membre de la famille de Denise, inquiet de ne pas parvenir à la joindre, a alerté un voisin, lui demandant d’aller la trouver. C’est en pénétrant dans la maison qu’il a découvert l’horreur.

L’annonce de sa mort a choqué les habitants

L’enquête a été rapidement confiée à la brigade criminelle de Versailles. Les hommes de l’identité judiciaire ont effectué de nombreux relevés hier après-midi afin de recueillir le maximum d’indices. Le substitut du procureur de la République s’est également rendu sur les lieux. Hier soir, le ou les auteurs des faits étaient toujours activement recherchés.
Dans l’après-midi, la présence policière dans et aux alentours de la maison a rapidement alerté le voisinage. L’annonce de la mort de Denise a choqué de nombreux habitants de Saint-Leu-la-Forêt qui connaissaient bien cette vieille dame, installée dans la commune depuis des décennies. A commencer par Sébastien Meurant, le maire UMP : « C’est un crime odieux. Comment peut-on être capable de commettre une telle horreur ? Elle était une proie facile, sans défense », lâche-t-il, ému. Denise, il la connaissait personnellement. « Cette petite mamie était très connue, elle parlait à tout le monde, elle a longtemps participé à la vie de la commune. » Dans le quartier, chacun garde l’image d’une dame charmante et souriante qui s’était par le passé beaucoup promenée dans la ville. Plus récemment, affaiblie par l’âge, elle avait pris l’habitude de s’appuyer pendant de longues heures à la barrière de son portail qui donne sur la rue de Paris pour engager la conversation.

Le Parisien - 21/12/10

 

 

 

Commentaires

  • Après cela , des abrutis mettront René Galinier en taule.
    Cette dame n'avait pas d'armes à feu. DOMMAGE.

  • Pauvre petite mammie ! Comme dit Turigol, dommage qu’elle n’avait pas d’arme ! Les maires UMPS devraient faire leur examen de conscience. Mais il ne doivent pas en avoir !

  • Dans notre pays, on vient tuer nos vieillards, nos gentilles mamies.

    Mais QUI va réagir enfin contre ces meurtres ignobles?

Les commentaires sont fermés.