Selon Women's Wear Daily (WWD), quotidien des professionnels de l'industrie de la mode, John Galliano a été écarté de sa propre marque. John Galliano SA, fondée il y a 17 ans, est détenue à 92% par Dior, qui appartient, rappelons-le, au groupe LVMH.
Lorsque l'agence Reuters a demandé confirmation à la société, un porte-parole lui a répondu : « D'après vous, est-ce qu'un journal aussi sérieux que WWD ne vérifie pas les faits avant de les publier ? » Pour sa part, la maison Dior se garde de tout commentaire sur le sujet.
La polémique avait éclaté fin février, à quelques jours de la fashion-week, lorsqu'un couple, puis une femme, avaient porté plainte pour injure antisémites contre le créateur. John Galliano, manifestement sous l'influence de l'alcool, était attablé dans le bar parisien La Perle. Quelques jours plus tard, une vidéo sans équivoque était sortie dans la presse britannique. Le patron de Dior, Sidney Toledano, avait rapidement pris la décision de se séparer de celui qui, depuis une quinzaine d'années, fait les beaux jours de la maison de couture.
Commentaires
Ces gens là ont la haine tenace ; on le savait, ils le montrent une nouvelle fois.
C'est la haine qui gouverne la France, l'Europe et le monde. Des créatures diaboliques sont maintenant aux commandes.
donc si Galliano depuis 15 ans , faisait les beaux jours de la maison Dior, maintenant , qu,il a été viré comme un malpropre , ce sont les mauvais jours qui vont arrivés!!!!!!
salutations.
C'est la "mort civile" pour John Galliano. Il n'existe plus. Il n'a plus rien. On va débaptiser sa marque. Effacer toute trace de son travail.
Cette photo a été prise à l'aéroport de Los Angeles, alors que des journalistes lui crient "sale raciste!"
La date de son procès va être bientôt fixée. Il risque la prison, plus une lourde amende.
@ babotchka: je le crois.
@babotchka : Vous avez raison.
Hélas, il y a encore beaucoup d'innocents (les mains pleines) qui n'ont pas compris le scénario ou qui l'interprètent même à l'inverse, d'autres qui sont prêts à vendre leur âme pour quelques milliers de billets de monopoly.
On peut (on doit) insulter le Front national,c'est même recommandé,vous pouvez selon les circontances demander la légion d'honneur,tout autres critiques vont vous valoir la disgrace.
Qui commande La France...pas sarko!