Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé : la gauche delanoësque au pouvoir à Paris a fait tout ce qu’elle a pu pour installer définitivement dans la capitale les centaines de migrants ayant profité de la « révolution démocratique » en Tunisie pour rejoindre la chèvre à lait française, via Lampedusa…
Inutile de revenir sur les 300.000 euros prélevés dans la poche du contribuable parigot, les gymnases occupés, les hôtels gracieusement réquisitionnés pour la cause ou les campements sauvages dans des parcs normalement dédiés aux enfants : « On connaît la chanson » !
Plus intéressante est aujourd’hui la réaction des soutiens de ces révolutionnaires à la graine de couscous : « Un tiers de ces hommes est prêt à retourner dans son pays avec une aide conséquente »*.
Entrés illégalement sur le sol de France sans y être poussés par une quelconque raison de survie, les migrants made in Tunisia condescendraient – à 33,333333 %, donc – à pardonner le « mauvais » accueil qui leur a été réservé. Seule condition : que leurs menus frais de passage clandestin (1.300 à 1.500 euros par tête) soient remboursés, et agrémentés d’un bonus à négocier.
Blagounette ? Canular ? Humour noir (gris) ? Non… Ca se passe comme ça, au royaume de l’UMPS.
* Voir Le Parisien du 7 juin
NPI - 08/06/11
Commentaires
Jean Raspail au pouvoir d'urgence, les traitres à la lanterne.
Et pendant ce temps, tout le monde se fiche de la pauvreté chez les Français de souche : on laisse mourir de faim nos SDF et de plus en plus de Français ne peuvent plus se soigner !