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La lune de miel aurait-elle tourné court? Ce devait être un voyage de rêve en Afrique du Sud, son pays natal, mais une semaine à peine après son mariage, Charlène de Monaco a dormi seule… à quelque 16 kilomètres de son prince. Après la rumeur persistante selon laquelle la jeune femme aurait tenté de fuir le Rocher quelques jours avant les noces, il n'en fallait pas plus pour relancer les ragots.
C'est un hôtel de légende, au charme colonial, avec une vue époustouflante sur l'Océan Indien. «Le bruit des vagues fait oublier tous les soucis du monde», affirme le site de l'Oyster Box d'Umhlanga Rocks, à une quinzaine de kilomètres au nord de Durban. Le 7 juillet dernier, le couple princier a donné, dans ce palace, une somptueuse réception pour leurs amis sud-africains qui n'avaient pas pu se rendre à la célébration monégasque. Ce soir-là, la mariée était en noir. Faut-il y voir un autre signe funeste?
La suite présidentielle, à 2600 € la nuit, avait, selon la presse sud-africaine, été réservée par le couple. Cependant, Albert II a finalement préféré dormir au Hilton, dans le centre de Durban. Selon Joanne Hayes, porte-parole de l'Oyster Box, Charlène, elle, serait restée à Umhlanga Rocks, mais dans une chambre plus modeste, la suite Buthelezi. Toutefois, la porte-parole n'en dira pas plus: «Comme aujourd'hui le couple princier a quitté l'hôtel, je n'ai rien à ajouter», explique-t-elle au Figaro.
Au palais de Monaco, on affirme «tomber des nues». «Le prince était en réunion à l'hôtel Hilton avec des membres du Comité International Olympique (CIO) du 5 au 9 juillet, précise une source proche de la famille Grimaldi. Pour des raisons pratiques, il était préférable qu'il dorme là-bas». Mike Wittstock, le père de Charlène, a confirmé l'information à la presse sud-africaine, ajoutant que la conférence du CIO commençant à 7 heures du matin, Albert n'aurait pas souhaité se lever si tôt et risquer d'être pris dans les embouteillages.
Reste que ce séjour, à la fois voyage de noces et voyage d'affaires, ne semble pas avoir été aussi romantique que prévu. À l'affût des moindres gestes du couple, les médias sud-africains sont catégoriques: Charlène est «malheureuse». Les photos prises la semaine dernière ne la montrent que rarement souriante. À une seule exception, lorsque l'archevêque Desmond Tutu, l'une des grandes figures de la lutte antiapartheid, l'a prise dans ses bras.
City Press, un journal local, rapporte que lors de leur visite au président sud-africain Jacob Zuma, avec lequel ils ont déjeuné mercredi dernier, Albert et Charlène seraient arrivés dans la même voiture, mais repartis dans deux véhicules différents. Pis: lorsque des photographes ont demandé au couple de s'embrasser, «il y a eu un moment de flottement», et Charlène a détourné la tête. Son prince s'est donc contenté d'un chaste baiser sur la joue.
«Vous ne trouvez pas que c'est un peu exaspérant quand, toute la journée, les photographes vous demandent des baisers?, s'agace le spécialiste du Gotha Stéphane Bern, qui tente nouvelle fois de défendre la famille princière. Je vous assure que quand il n'y a pas de photographes, ils s'embrassent avec plaisir! Mais maintenant, quoi qu'ils fassent, cela va être sujet à interprétation. On a tendance à interpréter un peu trop!»
Déjouer les pièges...
Des sources proches de l'organisation du mariage à Monaco ont confirmé qu'il y avait bien eu un «couac» peu avant les noces et qu'Albert II faisait l'objet d'une demande de reconnaissance de paternité venue d'une conquête présumée. Une information pourtant formellement démentie par Me Thierry Lacoste. L'avocat du prince s'apprêterait d'ailleurs «vraiment», cette fois-ci, à attaquer le site de L'Express, qui avait révélé la supposée tentative de fuite de Charlène. Le prince est déjà père de deux enfants naturels de 7 et 19 ans.
Contrairement à ce qu'affirme la presse sud-africaine, Albert et Charlène, qui ont entamé la partie «voyage de noces» de leur séjour, ne sont pas rentrés à Monaco vendredi dernier. «Il font maintenant un tour en Afrique du Sud, précise le Palais princier. Enfin, en principe, car il n'est pas rare qu'ils changent leurs plans pour déjouer les pièges des journalistes…»
Source Le Figaro - 12/07/11
Commentaires
Elle ne doit pas être disposé à lui donner un héritier légitime.
quel que soit leur bonheur ou malheur de couple , cela va faire encore couler beaucoup d,encre , donc les magazines peoples vont se faire un max de fric , avec les lecteurs-admirateurs!!
bisness is bisness!!
salutations.
Albert venait juste de manger un casse-croûte au camembert et au parmesan ;o)
Il s'agit d'un mariage blanc pour des intérêts financiers que nous ignorons.
On est loin du conte de fées romantique pour les imbéciles!