Anne Caudal, la jeune femme enceinte de trois mois disparue à Bruz près de Rennes (Ille-et-Vilaine) il y a plus d'une semaine reste toujours introuvable. Elle devait fêter ses 28 ans samedi.
Alors que les recherches se poursuivent, ses proches gardent espoir.
Très ému, son père a rendu hommage au travail des enquêteurs sur RTL. «On a toujours l'espoir, aussi bien sa maman que moi et ses amis, on garde espoir, on fait en sorte de ne pas le perdre. Pour nous, elle est vivante, elle est là», a-t-il ajouté. Pendant toute la semaine, les gendarmes ont mené des opérations de ratissage, notamment dans un golf et un bois situés à proximité des lieux de la disparition, ainsi que dans des plans d'eau. Sept enquêteurs ont été mobilisés exclusivement sur cette affaire.
«Etant donné que les chiens policiers reviennent toujours à la voiture de «Nanou», la thèse qui maintenant reste la plus plausible, c'est l'enlèvement,» a déclaré Françoise, la tante de la jeune femme, sur RTL.
Elle précise que la disparue vivait un bonheur sans tâche avec son ami, qu'ils avaient emménagé ensemble. «Nanou, elle est fleuriste dans un magasin, est-ce que c'est un mec qui a fantasmé sur elle et qui tout d'un coup l'a suivie... On ne sait pas, on ne sait pas !» se désespère Françoise.
Les enquêteurs se concentrent désormais sur les auditions de témoins et tentent de retracer le parcours de la jeune femme, avant sa disparition le vendredi 8 juillet en fin de journée. S'ils ont réussi à reconstituer «une partie» de son emploi du temps, il leur «reste encore des blancs à combler», a précisé le commandant Jean-Philippe Vidal, chargé de la communication de la gendarmerie pour la région Bretagne.
Aucune piste n'est privilégiée pour cette disparition, même si la famille d'Anne Caudal exclut l'hypothèse du suicide ou de la fugue. C'est le compagnon de la jeune femme qui a donné l'alerte en rentrant à leur domicile samedi midi.
Les enquêteurs se concentrent désormais sur les auditions de témoins et tentent de retracer le parcours de la jeune femme, avant sa disparition le vendredi 8 juillet en fin de journée. S'ils ont réussi à reconstituer «une partie» de son emploi du temps, il leur «reste encore des blancs à combler», a précisé le commandant Jean-Philippe Vidal, chargé de la communication de la gendarmerie pour la région Bretagne.
Aucune piste n'est privilégiée pour cette disparition, même si la famille d'Anne Caudal exclut l'hypothèse du suicide ou de la fugue. C'est le compagnon de la jeune femme qui a donné l'alerte en rentrant à leur domicile samedi midi.
Source Le Parisien - 16/07/11