Elle ne voulait embaucher que des "mâles non blancs"...
La plainte, déposée par l’ancienne baby-sitter de l’ex-patronne d’Areva, vise, entre autres, le règlement de plusieurs centaines d’heures supplémentaires impayées. L’ex-PDG du leader du nucléaire Anne Lauvergeon fait l’objet d’une procédure au conseil de prud’hommes de Paris depuis le mois de juillete jusqu’à 60 000 €.
Embauchée en 2005, la nounou travaille sans heurts chez l’influente femme d’affaires pendant six ans. Au mois de juillet, elle est remerciée par la maîtresse de maison qui, après son licenciement d’Areva, souhaite désormais utiliser son temps libre pour s’occuper elle-même de ses enfants, un motif prévu par la convention collective de la profession. En arrêt maladie depuis plusieurs semaines, la nounou saisit malgré tout les prud’hommes, reprochant à son ex-employeur d’avoir omis de lui faire passer la moindre visite médicale pendant la durée de son contrat, mais surtout réclamant de nombreux arriérés d’heures supplémentaires.
La plaignante espère un accord amiable
« Ma cliente travaillait de 9 heures à minuit, se rendant disponible au gré de l’agenda personnel et professionnel de son employeur », explique Me Bruno Toussaint, le conseil de la nounou. Au total, la baby-sitter affirme avoir cumulé jusqu’à soixante-dix heures supplémentaires par mois. Une surcharge de travail qui, ramené au salaire très confortable de l’employée — 3 000 € mensuels —, représenterait plusieurs dizaines de milliers d’euros d’impayés sur les cinq ans. Quant à l’absence de visite médicale, elle pourrait constituer un motif de résiliation judiciaire du contrat de travail, ouvrant la voie à différentes indemnisations.
« Cette dame n’apporte pas la moindre preuve de ce qu’elle avance, assure de son côté Me Jean-Pierre Versini, le conseil de l’ex-patronne d’Areva. Madame Lauvergeon la rémunérait de façon très généreuse et s’est séparée d’elle simplement parce qu’elle souhaitait passer davantage de temps avec ses enfants. »
Tout en reconnaissant l’absence de visite médicale durant la durée du contrat, le conseil souligne que ce manquement a été corrigé « dès la saisine du conseil de prud’hommes ». Après plusieurs audiences de procédure, le tribunal jugera l’affaire au fond le 19 mars. « Mais je ne désespère pas de trouver un accord à l’amiable d’ici là », glisse le conseil de la nounou.
30/09/11
Commentaires
C’est une vraie socialiste : elle ne paie pas les heures supplémentaires de son employée !
C'est cette gauchiasse qui avait exprimé sa haine du mâle blanc - ella a du se faire inséminer !
Encore une bonne tronche de socialope en effet ;o)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_Lauvergeon
On y trouve quelques information intéressantes pour qui sait déchiffrer ;o)
cette femme qui n,aimait pas les males blancs n,aime pas non plus les domestiques , trop peuple pour elle!!
salutations.
Soialope malhonnête: est-ce un pléonasme? ;°)
Et de quelle couleur est cette brave baby-sitter?