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Sète: une lycéenne de 17 ans tabasse sa prof à coups de poing

L'enseignante plaquée au mur a ensuite été molestée. Elle a dû être transportée aux urgences.
L'agression s'est produite, mercredi matin vers 10h30 au lycée professionnel Charles de Gaulle de Sète.
 
L'élève, nouvellement arrivée et âgée de 17 ans et demi a violemment frappée à coups de poing sa professeure, après l'avoir plaquée au mur. Des collègues de l'enseignante ont dû s'interposer et sont parvenus à maîtriser la lycéenne.
 

L'incident s'est produit en cours de vente. La professeur a demandé à l'élève de quitter la classe car elle perturbait le cours. Cette dernière a refusé.

L'enseignante l'a obligé à quitter la salle, c'est alors que l'altercation a eu lieu.

Selon, M. Irmann, proviseur du lycée : "Les élèves ont été particulièremernt choqués, notre établissement n'est pas réputé violent. J'ai demandé au rectorat de mettre en place une cellule psychologique dès jeudi matin.".

 La victime a été hospitalisée aux urgences de Sète, puis est ressortie en début d'après-midi. Elle est en arrêt maladie.

La lycéenne a été exclue provisoirement de l'établissement scolaire et attend une convocation du conseil de discipline.

 Une cellule psyclologique a été activée pour prendre en charge les élèves et enseignants choqués par la montée de la violence dans les lycées et collèges du Languedoc-Roussillon.

05/10/11

Commentaires

  • Heureusement que ce lycée n’est pas réputé violent !
    Mais l’affaire est réglée : une cellule psychologique a été activée (sic !). Et circulez, y-a rien à voir !

  • Ce communiqué de presse est le modèle de ce qui débloque pour ne pas écrire déc***** aujourd'hui !

    Une "cellule psy" !

    Et la professeurE (!) a été choquée et ses collègues aussi !

    Que ce monde est, ou fragile psychologiquement ou tellement endoctriné par le Vivre-Ensemble et tout le reste qu'ils n'ont AUCUN sytème de défense possible. Ils sont coincés !

    Mais, demain, ils vont, au lieu d'instruire, voir le psy de service !

  • Une cellule psychologique, toujours ce machin idiot et inutile, fausse profession de plus, noyage du chômage par ce genre de trucs trop fréquents et qui coûtent cher aux contribuables.
    Pas besoin de çà, mais au contraire une raclée magistrale à cette petite merdeuse de I7 ans, un tabassage appliqué à ce genre de crevure devrait devenir la norme pour avoir la paix, cette raclure se sait protégée, car les profs sont la cible du politiquement correct en vue de formater sous contrainte les élèves de tout bord, alors la terreur nécessaire dans toute révolution, est utilisée sans défaillance, et toujours contre les honnêtes gens.
    A QUAND LA VENGEANCE contre les salauds responsables et qu'il faut foutre en l'air partout, neutraliser durement et même condamner sans regret.

  • Pas besoin de cellule psychologique pour cette créature: juste une cellule à gros barreaux! Et retour aller simple..

  • Bien fait pour ces profs de gauche qui prônent une tolérance criminelle et qui détruisent la France depuis des décennies!

  • Faut-il s'étonner de ce que les profs soient punis par où ils où ils ont péché ? Malheureusement, leur idéologie destructrice et criminelle atteint chacun d entre nous.

  • cellule psy ! la seule réponse connue , qui ne sert strictement à rien!
    à mon époque , les perturbateurs se prenaient une claque ou un coup de régle sur les mains et n,y revenaient plus, et seulement pour des vétilles , jamais un éléve ou parent d,éléve n,aurait oser porter la main sur le maitre ou prof!
    68 est passé par là , les profs sont beaucoup de gauche , alors pour ceux là qu,ils (elles) essuient les platres!!
    salutations.

  • @ Décée: très juste, chacun de nous est atteint par cette idéologie criminelle et destructrice. Au-delà du fait-divers, devenu banal (!), il y a une blessure de la France, de sa culture, de son enseignement, de son équilibre menta,l vais-je jusquà dire, qui nous attriste profondément, qui ternit notre lumière intérieure. Cette fille s'est acharnée à coups de poing sur le visage de ce professeur: le visage d'une femme qui essayait de transmettre un savoir, de bien faire son travail d'enseignante. Et c'était aussi le visage de cette France qu'on insulte et meurtrit de toutes les maniières.

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