L'immeuble d'où elle a sauté du 6ème étage - (Cliquez sur la photo)
Selon les premiers éléments de l’enquête confiée à la brigade de protection des mineurs (BPM), l’adolescente de 15 ans qui s’est tuée en faisant une chute dans le vide, jeudi soir, vers 19 heures, d'une fenêtre de l’appartement de ses parents, situé au 6e étage d’un immeuble de la rue Stephenson dans le XVIIIe arrondissement à Paris aurait été «incitée psychologiquement» à se suicider.
Quelques minutes avant les faits, une vingtaine de collégiennes, fréquentant le même établissement scolaire que la victime ont fait irruption chez elle avant de la menacer. «Ces jeunes filles lui auraient alors indiqué qu’il valait mieux pour elle qu’elle mette fin à ses jours sinon, elle aurait droit à de sévères représailles physiques, indique une source proche de l’affaire. Ces adolescentes ont été sorties de l’immeuble par la gardienne. Les parents de la victime n’étaient pas présents au moment des faits».
Ordinateur et journal intime saisis
En revanche, ses trois frères se trouvaient dans l’appartement. Ils ont précisé à la police avoir entendu leur soeur se disputer avec d’autres filles mais sans avoir assisté à la scène. Quelques minutes après le suicide de la jeune fille, quatre adolescentes ont été interpellées avant d’être conduites dans les locaux de la BPM pour y être entendues.
D'après nos informations cinq jeunes filles ont été placées en garde à vue en lien avec cette affaire. Une altercation entre la victime et d'autres adolescentes serait intervenue mercredi dernier. Dans l'appartement familial, les enquêteurs ont par ailleurs saisi un ordinateur et le journal intime de la victime. Dans ce dernier, d'après des sources proches de l'enquête, elle confierait son désespoir d'avoir été prise en grippe à la suite d'un conflit né sur un réseau social.
Le Parisien - 14/10/11
Quelle pourriture morale!
Commentaires
Bien d’accord avec vous, Gaëlle : l’enseignement et tout le système éducatif français ne font que pourrir moralement les jeunes !Il faut revenir en urgence aux bonnes méthodes des années 1950-1960 que les réformes post-soixante-huitardes ont peu à peu complètement détruites
D'où vient tout ce mal, cette méchanceté croissante, poser la question c'est y répondre.
gaelle pourriez vous me préciser svp s il y a des "limites" à ne pas dépasser dans sa liberté de dire ce que l on pense concernant des engeances ?? qui auraient pu m agresser verbalement ou physiquement ? merci et tres cordialement . GAUTHIER MICHEL
@ gauthier michel: bien sûr qu'il y en a! - Pas de connotations racistes avec des descriptions. La loi française l'interdit, et ce n'est pas moi qui fais les lois en vigueur.