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C'est bien le corps calciné d'Agnès Marin, 13 ans, qui a été retrouvé à 3 km de son collège

 

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HAUTE-LOIRE - C'est le lycéen placé en garde à vue depuis jeudi matin qui a mené les gendarmes sur place. La levée et l'identification du corps n'auront pas lieu avant samedi matin...

Un corps calciné a été retrouvé ce vendredi soir, dans le cadre de l'enquête sur la disparition de la jeune Agnès, selon les déclarations en fin de soirée du procureur du Puy-en Velay. La collégienne de 13 ans, en internat dans le collège Cévenol du Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire), n'avait  pas donné signe de vie depuis mercredi soir. Les services d'identité judiciaire, qui doivent venir de Paris, procéderont à la levée du corps samedi matin.

Le procureur, René Pagis, a précisé que c'est le lycéen, placé en garde à vue depuis jeudi matin, qui a mené les gendarmes sur place. Le corps a été retrouvé dans un endroit «totalement inaccessible», selon René Pagis. Dans un lieu très escarpé situé dans le bois à quelques dizaines de mètres de la route départementale 103, à 3 km du village, en direction de Tence.

Lors de sa garde à vue, le jeune homme de 17 ans, qui présentait des traces de griffures au visage et paraissait très perturbé, aurait reconnu avoir fait «une promenade» avec la jeune fille «pour y chercher des champignons hallucinogènes». Il a également reconnu l'avoir «bousculée».

Déjà condamné pour agression sexuelle

Selon des informations de RTL, le lycéen est en classe de 1ère et Agnès avait prévu de passer l'après-midi de mercredi avec lui. Plusieurs élèves racontent par ailleurs l'avoir vu sortir de la forêt à côté de l'établissement. Selon LCI, le jeune homme aurait déjà été condamné à quatre mois de détention pour agression sexuelle et serait connu pour des faits de violence.

Les vols d'hélicoptères avaient été interrompus ce vendredi en début de soirée mais les recherches au sol se sont poursuivies et se sont concentrées dans la forêt située près du collège où était scolarisée la jeune fille, sur les indications du lycéen.

N. Bu. avec C. V. au Chambon-sur-Lignon
 
20minutes.fr - 18/11/11

 

Commentaires

  • d,aprés les médiats, une inutile marche blanche sera organisé en sa mémoire , plus jamais çà !! rituel devenu incontournable!!
    salutations.

  • Ces marches blanches sont inutiles. Les crimes contre les enfants et les jeunes filles sont de plus en plus fréquents.
    Elle n'aurait jamais dû être dans le même collège que ce garçon déjà "connu" de la justice et dangereux: il l'a prouvé, hélas! Les psys avaient dit le contraire...
    On écoute les psys au lieu d'écouter le simple bon sens!

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