Selon le Parquet de Clermont-Ferrand, la malheureuse Agnès a été attirée en forêt, violée puis tuée “de façon extrêmement violente et brutale” par un condisciple décrit comme un jeune homme “froid et sans émotion”.
On apprend surtout que le présumé coupable, récidiviste en matière d’agresion sexuelle, était placé sous contrôle judiciaire depuis fin 2010 pour des faits commis “dans des circonstances identiques sauf que cette fois là la victime est restée en vie”. Un bel enrobage pour dire qu’on a laissé à une brute homicide toute facilité pour récidiver et cette fois pour tuer.
Incarcéré quatre mois, le violeur s’est retrouvé libre de ses mouvements dans un internat mixte où d’aucuns avaient jugé bon de le placer : une décision prise par “des magistrats de haut niveau, des psychiatres et un psychologue” selon un responsable du rectorat (sur RTL) qui reconnait quand même que le placement choisi “n’était peut-être pas le meilleur”, mais affirme que le jeune homme avait été considéré officiellement comme “réadaptable, réinsérable et sans aucune dangerosité”. Moins d’un an après, le brave petit bonhomme viole, massacre effroyablement et brûle le corps d’ une de ses camarades !
Alors des noms et des sanctions ! Les noms des bobos “psy” et des magistrats dont on peut se demander s’ils ont erré par incompétence ou par angélisme, s’ils sont des jean-foutre ou des militants du laxisme, mais qui n’en sont pas moins responsables du martyre d’une innocente jeune fille et ce n’en déplaise à l’ineffable Rosenczveig (président du tribunal pour enfant de Bobigny) qui estime que dans cette affaire son confrère “avec la caution du Parquet, des psychiatres (…) a pris une décision de bon sens” et que tous ces gens sont “des personnes compétentes qui ont fait leur travail.”
Des sanctions pour ces foutriquets de la “compétence”, robins ou charlantans du ciboulot, à qui l’on devrait imposer de visionner l’autopsie de la malheureuse victime, de voir et de sentir les restes calcinés, de rencontrer et d’écouter les parents… juste pour voir si leur sensiblerie envers une crapule ne deviendrait pas de l’humanité pour sa victime. Le bourreau d’Agnès doit être puni, et sévèrement. Ceux qui ont permis qu’il devienne son bourreau aussi.
Yves Darchicourt dans Synthèse nationale
Altermedia.info - 20/11/11
NdB: Selon le Parisien, les parents n'ont pas été autorisés à voir la dépouille de leur fille.
Pour violer sa première victime, une amie d'enfance âgée de 15 ans, Mathieu l'avait attirée dans un bois sous un prétexte futile, l'avait ligotée à un arbre, puis il avait utilisé des "instruments".
La jeune fille pense aujourd'hui, après le meurtre d'Agnès, qu'elle est une "miraculée".
Comment les parents de Mathieu, sachant le viol qu'il avait commis, ont-ils pu mettre leur fils dans un lycée mixte, où se trouvaient donc des jeunes filles qui pouvaient être ses prochaines victimes? Quelle inconscience, quelle irresponsabilité de la part de ces gens ! Ils ne pensaient qu'à leur fils, sans se soucier des autres à qui il pouvait faire du mal.
Commentaires
"Rosenczveig... estime que dans cette affaire son confrère “avec la caution du Parquet, des psychiatres (…) a pris une décision de bon sens” et que tous ces gens sont “des personnes compétentes qui ont fait leur travail.”
Nous y sommes, tous ces laquais ont agi, et bien agi conformément aux consignes habituelles, il ne PEUT y avoir de dérogation au "systeme". Ni la vision d horreur de la dépouille de la victime, ni le calvaire infini des parents ne sauraient les sortir du dogme dans lequel ils sont enfermés depuis 30 ans (dilution de la responsabilité individuelle, regroupement familial, frontières-passoires et le reste du "projet" ...)
A chaque récidive on nous sort une nouvelle loi, qui ne sert à rien et aussitôt oubliée, mais qui fait croire qu’on fait quelque chose.
les bobos psy et autres magistrats de gauche ont n,en rien à F. . . !! des victimes ! seul compte leur jugement et idéologie de pseudo-humaniste !!
salutations.