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Mondialisation - Des enseignants roumains seront formés en Israël

Lors de leur rencontre jeudi passé à Jérusalem, le ministre de l’Education Guideon Saar et son homologue roumain, Daniel Funeriu, ont signé un accord de coopération sur l’enseignement de la Shoah.

Dans le cadre de cet accord, des dizaines d’enseignants roumains seront formés à Yad Vashem à l’enseignement de la Shoah, des séminaires communs seront organisés sur le sujet et il y a aura des échanges d’enseignants entre les deux pays.
VOXNR - 26/11/11

Commentaires

  • C’est vrai il n’y a qu’en Israël qu’on peut connaître la shoah. Les Roumains qui étaient au cœur de la seconde guerre mondiale ignorent donc tout de la shoah : c’est évident !

  • "Dans le cadre de cet accord, des dizaines d’enseignants roumains seront formés à Yad Vashem à l’enseignement de la Shoah"
    C'est bien une nouvelle religion ...
    Le peuple roumain connait des difficultés mais la priorité est l'enseignement de la "shoah "!

  • On comprend mal: les Roumains connaissent forcément la shoah ?

  • Enseigne t-on au peuple roumain le génocide communiste ?????
    Ce serait intéressant à savoir.
    La Roumanie sort de l'enfer communiste et on la bassine avec la "shoah ".
    Pourquoi ?
    Parce qu'il est dangereux de se pencher sur les promoteurs et bourreaux du communisme.

  • Je pense surtout à des trafics de femmes! Pour remonter le cheptel de Tel Aviv qui possède le plus grand nombre de bordels au m2!
    Il y a toujours eu aussi beaucoup de Juifs en Roumanie.

    A Paris, en free-lance, j'ai écrit des textes courts, des poèmes, pour une revue tenue par deux juifs roumains. C'était très bien payé pour très peu de travail. Puis un jour, l'uin d'eux m'a posé la "question de confiance": accepterais-je d'écrire un texte contre le coq gaulois, "cet animal ridicule" disait-il (pauvre Chnatecler!) sur les clochers, et contre tous les drapeaux, ces "chiffons" pour lesquels on fait tuer des jeunes gens...etc... J'ai refusé tout net, bien sûr, indignée! Je lui ai dis non, et il m'a répondu que notre collaboration, dont il avait été enchanté, s'arrêtait là. Il m'a demandé de réfléchir, car il avait une place pour moi au Nouvel Obs, où je serais "la contestation dans la contestation". C'était tentant, j'étais jeune, mais j'ai refusé tout de même. Tant pis!

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