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La production du RAFALE va être arrêtée

 

Le Rafale de chez Dassault Aviation, le fleuron de l’aviation militaire de la France, ne s’est jamais vendu et ne se vend toujours pas : malgré la démonstration de force contre la Libye, ce bijou de technologie est un échec total. Kadhafi n’en a pas voulu (et on sait ce qui lui est arrivé…), les monarchies du Golfe persique non plus, pas plus que les Polonais qui ont préférés des F-16 américains (grâce au lobbyisme de Christine Lagarde), les Indiens non plus, tout comme encore dernièrement, les Suisses qui l’ont refusé au profit des Gripen suédois. Aussi, le ministre de la Défense, Gérard Longuet envisage désormais de stopper sa production. Un vrai gâchis que le contribuable français devra encore payer.

C’est sur « Questions d’Info », émission de LCP/France Info/Le Monde/AFP, que Gérard Longuet a affirmé que « si Dassault ne vend pas son appareil [le Rafale] à l’étranger, la chaîne sera arrêtée et les appareils seront naturellement entretenus ». En principe, et en principe seulement, l’armée française devrait recevoir tous ses appareils commandés, « jusqu’en 2018 au moins ».

Le défaut majeur du Rafale : il est « plus cher que l’avion américain » (F-16, F-15 et F/A18) et doit être « amorti sur des séries beaucoup plus longues ». « Lorsque nous, nous commandons 200 Rafale en dix ou quinze ans pour un programme, les Américains font 3.000 appareils », a précisé le ministre.

Voilà où nous mène l’américanolâtrie du petit être de l’Elysée !

Commentaires

  • L’échec du Rafale est une conséquence directe de la politique du gouvernement français : aucun gouvernement pouvant avoir besoin de cet appareil n’a assez confiance en la France pour l’acheter. Depuis ce qui s’est passé en Irak, les pays arabes l’ont compris et les autres états en ont tiré la leçon !

  • Après avoir copieusement et fréquemment insulté par le nabot ce n'est pas la Suisse qui en allait en acheter !

  • Il ne se vend apparemment pas parce que le rapport qualité prix joue en sa défaveur.
    Quel rapport avec" l'américanolâtrie "de Sarkozy ?

    Le problème a été le même avec le Concorde.

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