Eau répandue sur le sol, équipements souillés de peinture, inscriptions obscènes... la directrice de la halte-garderie "la Farandole" faisait le triste constat d'une nuit de vandalisme.
Photo Ange Esposito
Mais les vandales qui se sont introduits dans les locaux de la halte garderie "la Farandole", en plein coeur du quartier de la Barbière à Avignon n'en sont pas restés à de très explicites messages oubliant les plus élémentaires règles d'orthographe et de syntaxe... S'emparant des pots et tubes de peinture qui venaient de parvenir à cette structure d'accueil de la petite enfance, ils en ont mis absolument partout. A terre, sur les ordinateurs du personnel, sur la photocopieuse, dans les tiroirs remplis de précieux documents administratifs, sur les bureaux. Ils ont même répandu de la lessive au sol des sanitaires. Et comble de la malveillance, les lavabos ont été délibérément bouchés et les robinets ouverts pour que l'eau s'y écoule durant plusieurs heures.
C'est d'ailleurs dans plusieurs centimètres d'eau que le personnel a évolué dès hier matin pour tenter de nettoyer ce qui pouvait l'être. Une jeune employée, la première sur les lieux vers 7h45, a donné l'alerte et dans la foulée, la dizaine d'enfants qui devait être accueillie hier matin a dû être redéployée dans d'autres structures de la ville."Les parents étaient en colère, effondrés, une maman s'est même mise à pleurer, confiait Doriane Decrouy, la directrice de la Farandole. Ce lieu, c'est un cocon que l'on essayait de préserver dans le quartier. C'est une atteinte à un lieu de vie".
La crèche devait fermer la semaine prochaine pour les vacances et pourrait de nouveau accueillir les enfants à compter du 26 décembre. D'ici là, c'est un vaste travail de nettoyage et de remise en état qui devra s'opérer. "Nous sommes amères, pestait Valérie Wagner, élue municipale à la petite enfance. On rend des services à la population et l'on assiste à une destruction d'un bien public qui sert vraiment au quartier. On a beaucoup de mal à comprendre de tels actes". D'autant que c'est bien la volonté gratuite de nuire qui semblait animer les vandales. Pour preuve, rien, à l'exception de trois téléphones sans fil, n'a été emporté après ce saccage.
La Provence - 15/12/11
Commentaires
Quand le petit minable et ses ministricules qui "tiennent" le pays, auront été chassés, tous les merdeux qui se plaisent à saccager (par lâcheté) sachant ne rien risquer, nous trouveront devant eux, et nous n'aurons pas le moindre égard pour ces chiens enragés, que nous traiterons comme tels, et sans pitié et avec une extrême rigueur.
Politicards, non contents de bénéficier de la Gamelle, voire, de la batterie de cuisine la plus somptueuse ( n'est-ce pas M M..achin, qui étant à la fois député européen ( à quoi çà sert) et sénateur de l'Essoreuse ( de l'argent des petits) vous fourrez dans vos poches l'équivalent de 370 (oui 370) SMIG par an.
On comprend que cette camarilla de voleurs politi-chienne, trop occupée de ses prébendes somptueuses (tueuses pour les faibles) et avantages non imposables, ne puisse trouver le temps de justifier ces rapines légales par un vrai travail de salubrité nationale.
Monseigneur Gaume le disait déjà au XIXème siècle : C'est le Vol qui est à la base de la société perverse".
Rendez-nous notre Patrie, et foutez le camp, nous saurons et savons comment la laver de ses et ces souillures.
Hé oui, c’est ça le « vivre ensemble », comme disent les cuistres !
Quand on voit cela, on comprend que Sciences-Po annule les épreuves de culture générale à son concoure d’entrée. Comment pourrait-on admettre dans cette école des voyous incapables de parler français, même approximativement, si les épreuves du concours étaient maintenues?
j,espére que la directrice ne fut point étonnée de trouver son établissement dans cet état , car dans ce beau pays , cela est devenue monnaie courante , surement encore une incivilité !!!
salutations.
Bah ! Des petits sauvageons !
L'élue municipale Valérie Wagner en est encore à vouloir "comprendre" ?
Qu'elle cherche !