Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Horreur! Elle poignarde son bébé de douze coups de couteau ...

«Un coup de folie» à l'origine de douze coups de couteau ? Cette mère de 31 ans, qui a poignardé à mort mardi matin son bébé de six mois, plaide aujourd'hui la démence. «Je ne sais plus pourquoi je l'ai tué», a-t-elle finalement déclaré mercredi aux enquêteurs.

  
Pourtant, mardi, jour du , en se rendant à la police, la mère infanticide avait tenté d'expliquer son geste en invoquant le drame de la séparation. Pour elle, tuer son enfant était le seul moyen de ne plus revoir le père du bébé, avec qui elle se disputait la garde depuis leur séparation.

Le drame s'est noué mardi matin, dans un lotissement du quartier du Pontin à Roche-la-Molière (Loire). La jeune femme, déjà mère d'un enfant de dix ans, handicapé à 90 %, part déposer son aîné dans le car qu'il le conduit à l'Institut médical éducatif (IME) où il y passe quatre jours par semaine.

Le bébé n'est pas mort sur le coup

En rentrant, elle passe rapidement à l'acte. Armée d'un couteau avec une lame de 11 centimètres, elle monte dans la chambre du bébé et le poignarde à douze reprises. Vers 9 heures, elle se rend chez son voisin pour donner l'alerte. L'homme tente alors de ranimer l'enfant, en vain. 
Lors de son interpellation, la jeune mère est apparue calme, et ne semblait pas sous l'emprise de l'alcool. Des analyses toxicologiques ont aussi été menées mais les résultats ne seront connus que dans plusieurs jours.

L'autopsie du petit Amelio a révélé que le bambin n'était pas mort sur le coup. « Mais compte tenu de l'importance des lésions, la mort est arrivée rapidement», précise le procureur de la République à Saint-Etienne, Jean-Daniel Regnauld.
Le père d'Amelio, qui réside à Clermont-Ferrand, lui, évoque les «problèmes psychiatriques» passés de son ex-compagne. Elle aurait en effet été suivie par un psychiatre avant sa deuxième grossesse, mais aucune trace d'hospitalisation psychiatrique n'a été retrouvée.

LeParisien.fr - 15/02/12

Commentaires

  • une femme pareille n,aurait pas du étre mére!!
    salutations.

Les commentaires sont fermés.