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Ces millions de morts oubliés !

Posté par le 7 mars 2012

 

Communiqué d’Alexandre Simonnot

Il y a 59 ans, le 5 mars 1953, le dictateur Joseph Staline mourait.

Le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de tous les temps et de toute l’histoire. Il est bien évidemment impossible de rendre un quelconque hommage à cet abominable tortionnaire dont le XXe siècle se serait bien passé. C’est aux dizaines de millions de morts du stalinisme qu’il nous faut rendre hommage. Ces femmes et ces hommes spoliés, déportés, torturés, massacrés, éliminés par la barbarie stalinienne.

Ces millions de morts dont on ne parle jamais, ces millions de morts volontairement oubliés, ces millions de morts qui n’intéressent personne !

Surnommé à tort « le petit père des peuples », appellation désignant traditionnellement les Tsars de l’Empire russe, le tyran Staline était en réalité le petit père des pires exactions et des pires ignominies. Pourquoi ce silence sur les millions de morts du communisme ? Pourquoi n’évoque-t-on jamais ces génocides orchestrés par Staline ? Pourquoi ce silence sur les atrocités des Goulags ?

A quand toute la vérité sur ces exterminations de masse ? A quand un grand procès du communisme ? Le respect des morts ne se partage pas et il serait temps d’effectuer, à l’égard des victimes du communisme, un véritable et légitime devoir de mémoire.

Commentaires

  • En fait on dit qu’il serait mort quelques jours plus tôt ; mais les responsables du Kremlin qui étaient sans nouvelles de lui, avaient très peur d’aller voir ce qu’il devenait. Ils auraient ainsi attendu 4 ou 5 jours. Il parait que Béria a dansé de joie quand ils ont constaté qu’il était mort. Mais Béria fut assassiné peu après (pas pour cette raison, d’ailleurs). Il est certain que Staline fut avec Mao, le pire des dictateurs de l’histoire de l’humanité.

  • Pourquoi ? oui Pourquoi ?
    C'est assez simple en définitive, le communisme est une invention prévue et désirée depuis des siècles par ceux qui empoisonnent les Nations.
    Les complicités n'ont pas manquées, Lénine étant autorisé à traverser l'Allemagne avec un important chargement d 'OR.
    Ce n'est qu'un moment de la dialectique, et qui continue Pire que jamais maintenant avec l'ignoble Mondialisme, la pire forme du Communisme planétaire.
    "La Russie répandra ses erreurs, si l'on ne se convertit pas "( Notre Dame de Fatima);
    Tirons la conclusion : les erreurs continuent de se répandre , donc la conversion est absente, aggravée par Vatican II;

  • Ces millions de morts annulés, enfouis,rayés de la mémoire collective, insultés encore et encore par certaines candidatures à la présidentielle...
    Mais ON n'oublie pas Robert Brasillach, n'est-ce pas M.Michel Field ?

  • @ tania: c'est moi qui vais cosigner votre commentaire, si vous le voulez bien! Vous exprimez exactement ma pensée! Field est communiste, archi de gauche. Brasillach n'a tué personne! Mais il n'était pas communiste!

    Et ces oies jeunes journalistes qui répétent "écrivain collaborationniste"... alors qu'elles ne savent rien et que les choses sont bien plus complexes!
    Pas de "double peine" pour le grand poète français Robert Brasillach!

    Et le ministre de la Cul-ture qui se tait, bien sûr... En Thaïlande avec les boxeurs de 40 ans!

  • @ abad: sa mort demeure mystérieuse.

    Un an plus tôt, donc en 1952, naissait Vladimir V. Poutine...


    J'ai lu en effet que les responsables du Kremlin avait peur d'entrer dans ses appartements privés...

  • effectivement , les conditions de son décés restent obscures !!
    de trés bons ouvrages relatent cette sombre période pour la Russie et l,humanité.
    mais pour la bien-pensance et l,enfumage des peuples , seul le chancelier et son régime reste l,abomination la plus totale jusqu,a la fin des temps, pour les raisons que l,on connait !!
    salutations.

  • Brassillach n'a jamais levé une arme contre son pays .Il a été fusillé pour ses idées.A une alliance avec les anglo américains il préférait une alliance terrienne avec les Allemands.C'était son idée ,son sentiment .Il avait intégré que c'était nous les français qui avions déclaré la guerre aux allemands et non l'inverse.Le fauteur de guerre ,en l'occurence ,c'était nous.Les allemands vainqueurs nous proposaient une collaboration et non un anéantissement .

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