22/03/2012 – 16h00
BREST (NOVOpress Breizh) – Les forces de police ont interpellé, mercredi matin, sept « jeunes » soupçonnés d’être les auteurs de l’agression commise le 10 mars dernier à Brest à l’encontre d’un élève de l’école des mousses. Des « jeunes » pour certains déjà poursuivis pour d’autres méfaits et laissés malgré tout en liberté.
Alors qu’il rentrait en compagnie de deux de ses camarades au Centre d’Instruction navale le 10 mars dernier un élève de l’École des mousses avait été roué de coups et agressé à l’arme blanche par des « jeunes » qui lui avaient notamment porté un coup de couteau dans le dos. La blessure reçue par le malheureux – une plaie de 15 cm de long et de 3 cm de profondeur – avait nécessité la bagatelle de 51 points de suture.
Mercredi matin, les policiers de la sûreté départementale, renforcés par les sections d’intervention des commissariats de Brest et Quimper, sont intervenus dans les quartiers « sensibles » de Kerourien, de Saint-Marc et de Guilers. Sept « jeunes » âgés de 15 à 20 ans, dont trois mineurs ont été interpellés et placés en garde à vue. Dans un communiqué le parquet de Brest a précisé que la garde à vue de ces individus sera prolongée « au regard du nombre d’auditions et d’investigations à mener ».
Depuis le mois septembre 2011, le climat entre les jeunes militaires du Centre d’Instruction navale – aisément reconnaissables à leur allure – et des groupes de « jeunes » issus de l’immigration est très tendu : insultes, provocations, agressions à l’égard des jeunes militaires sont monnaie courante. Déjà, à l’issue des cérémonies du 11 novembre dernier, un élève du Lycée naval avait reçu un coup de couteau au bras et en décembre la situation avait encore empirée. Manifestement le « vivre ensemble » cher aux bonnes consciences de l’oligarchie en place connait quelques ratées dans le deuxième port militaire de France.
Selon des sources proches de l’enquête, il apparait en outre que plusieurs des « jeunes » interpellés sont les mêmes qui avaient déjà mis en examen pour des faits de braquages de pizzerias et de livreurs de pizzas. On se souvient que ces individus – poursuivis pour des faits d’une gravité certaine – avaient été aussitôt relâchés et placés sous contrôle judiciaire par le juge des libertés et de la détention. Une décision qui avait provoqué un tollé chez les policiers, qui s’inquiétaient, à juste titre, d’un tel laxisme. Un laxisme qui aura permis, quelques mois plus tard, l’agression dont a été victime le jeune militaire. Ces « jeunes », s’ils sont poursuivis, seront-ils encore une fois laissés en liberté ?
Crédit photo : Marion1000 ; Licence CC.
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Commentaires
ces jeunes doivent se penser solidaires des talibans afgans et autres en s,attaquant à des éléments de l,armée Française sur le territoire nationale .
il est évident qu,en laissant la situation se dégrader de plus en plus nous irons droit dans le mur et cela malgré les messages de nos chers démocrates pour l,unité etc etc !!
salutations.
Devant l'incurie des zautorités, faut-il que chacun assure sa propre défense, les voyous sont armés de Kalach et tout le monde finit par trouver cela normal, ce qui ne l'est pas du tout, se protéger est légitime, de plus en plus.
Se défendre, c'est être coupable d'agressions.
Tout est fait pour castrer les Français. Tout.
Et les Français eux, laissent faire.
IL est à présent même permis à l'immonde racaille qui partout en France a les même comportements stéréotypés de racailles, d'attaquer nos forces armées et de se comporter en force d'invasion.
Le jour ou on va se libérer, si on y parvient un jour, sera un jour de grande revanche.
S'ils ne craignent pas d'attaquer nos armées c'est que c'est voulu.
Si nos armées ne peuvent pas contre attaquer, c'est que c'est voulu.