Posté par Willy Legrand le 31 mars 2012
Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle de 2012, a accordé un entretien à la rédaction du journal Nice Matin. La candidate qui se qualifie d’« exception française » aborde plusieurs sujets dont le déficit, la dette de la France, le statut d’autoentrepreneur, la moralisation de la vie politique, l’affaire Bettencourt.
Vous réjouissez-vous du recul du déficit public à 5,2 % du PIB en 2011 ?
Ce chiffre est une vaste escroquerie. Il n’intègre pas les plans de renflouement des différents pays, ni l’augmentation du Mécanisme européen de stabilité que Sarkozy veut monter à 1.000 milliards. C’est aussi une vaste escroquerie parce que la dette continue à s’enfoncer.