Posté par NP Info Ile-de-France le 30 avril 2012
« Je compte vivement sur votre présence et il va s’en (sic) dire qu’aucune excuse et aucune absence ne sera tolérée ou acceptée. Bises et à samedi. Juju. » C’est par ce mail que Julien Dray a invité ses amis à fêter son anniversaire samedi au bar-club J’ose, 147, rue Saint-Denis, dans le IIe arrondissement de Paris.
Le député de l’Essonne avait dû annuler, à la suite d’un malaise cardiaque, une fête le 31 mars. Près de 150 personnes ont répondu à son invitation dans le restaurant ouvert dans un ancien sex-shop, entre une sortie de parking public et l’entrée du passage du Grand-Cerf. Derrière la vitrine vert turquoise, le J’ose (son patron se prénomme José) se déploie sur trois niveaux avec un bar-lounge au rez-de-chaussée, un restaurant franco-thaï au premier étage et une discothèque en sous-sol. En souvenir de l’histoire du lieu, le patron proposait des menus « coquins » (« préliminaires » pour les entrées ou « orgasme » pour les desserts) mais ces clins d’œil suggestifs ont dû être abandonnés sous la pression des habitants de ce quartier chaud en plein renouveau.
Quelle ambiance samedi soir ? « Celle d’un anniversaire à Juju, avec petits-fours et champagne », glisse un participant. Arrivés parmi les premiers vers 22 heures, Dominique Strauss-Kahn et son épouse Anne Sinclair s’installent au premier étage, en compagnie de deux amis, les députés de Paris Jean-Marie Le Guen et Jean-Christophe Cambadélis, et de Nathalie Bidermann, une communicante d’Euro RSCG.
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Commentaires
Ceux qui nous traitent 365 jours par an de "bêtes immondes" aux relents "nauséabonds" devraient décrotter leurs yeux !
En voilà une de "bête immonde et nauséabonde", appartenant au lobby des "in-nommables", adoubé par son coreligionnaire Sarko, appartenant à la même mouvance mondialiste que lui !
Et je ne parle pas de l'infect talmudiste Dray et d'une foule d'autres tapis dans les médias et à l'affût du pouvoir ( Copé, Moscovici, Fabius, etc.)
Décidément, les combats à venir seront bien entre nos "valeurs" et les leurs, faites de dépravation morale et de décadence !
Pas de quartier !