Belga
Mis en ligne le 06/06/2012
"La campagne (électorale) s'est déroulée de façon critiquable. On est retombé dans les errements de la diabolisation du Front national. L'exemple le plus proche est celui du président de la République", a déclaré M. Le Pen lors d'un point de presse à Lyon.
"Il n'a pas invité Marine Le Pen, parce que c'est un parti qui n'est pas représenté à l'Assemblée nationale", a dit le président d'honneur du FN. "Je ne sais pas si le président suit l'actualité, (...) mais il n'y a plus d'Assemblée nationale, il y en aura une quand les députés seront élus", a tonné M. Le Pen. "Alors se référer à un parti politique représenté à l'Assemblée nationale, c'est un propos de "jean-foutre", a dit M. Le Pen.
"Nous respectons le président de la République chaque fois qu'il se conduit comme un président de la République. Et nous le qualifierons comme tel chaque fois qu'il se conduira comme un "jean-foutre", ce qui est le cas en l'occurence", a-t-il insisté.
Commentaires
Ouais, je dirais même plus, c'est un françois-foutre.
Il est bien gentil, JMLP !
Ce Jean-foutre est surtout un ennemi de notre pays et des Français.