Son nom n'apparaît pas dans tous les articles de presse... Abdallah Boumezaar, interpellé après les meurtres, hier, de deux gendarmes à Collobrières (Var), est bien connu des services de police, selon la formule consacrée.
Il a échappé à la prison la semaine dernière, lors d'une comparution pour «violences commis sur un ascendant». Il s’en était violemment pris à sa mère.
Déjà connu pour des faits de violences, il était sous le coup de l’application d’une peine plancher de deux ans fermes. Le tribunal a préféré une peine mixte de six mois avec sursis accompagnés d’une mise à l’épreuve et d’une obligation de soins. Il avait donc été remis en liberté avec interdiction de se rendre au domicile de sa mère. Le juge rendra-t-il des comptes pour avoir laissé cet individu dans la nature ?
En septembre dernier, il avait été libéré après six ans d'emprisonnement.
Abdallah Boumezaar avait déjà été condamné en 2002 à 30 mois de prison ferme pour trafic de drogue. Il faisait partie d'une équipe d'une douzaine de voyous, coutumiers de la revente de résine et de pollen de cannabis.
Il a également fait l'objet d'une procédure pour conduite sous l'effet d'alcool et de stupéfiant. Des faits pour lesquels "il n'a pas encore été jugé".
Le Salon Beige
Commentaires
et tu noteras gaêlle qu'à la téloche (je revis en France !hélas) l'extrême gauche aurait 0 député ! ils n'ont donc pas placé les merluchonistes dans l'extrême gauche, tandis-que le FN est qualifié "d'extrême droite" pour le disqualifier bien sûr !
"...il était sous le coup de l’application d’une peine plancher..."
Quel vocabulaire, quelle érudition, peut être bénéficiait-il du RSA socle comme le Merah ;o)
Ces juges rouges nous prennent vraiment pour des caves ;o)