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Peugeot contraint de renoncer au marché iranien

 

Haro sur les dirigeants industriels de Peugeot à qui l’on reproche, essentiellement le président de la République et son ministre du redressement productif Arnaud Montebourg, la fermeture de l’usine d’Aulnay et les licenciements qui en seraient consécutifs. Tout est bon : les mauvaises performances commerciales, la vente à l’export de types de véhicules en fin de série, ne pas avoir su, comme l’aurait fait Volkswagen, adapter sa stratégie industrielle aux nouveaux marchés et enfin laisser planer le spectre d’une OPA sur le groupe après avoir été déjugé avec une action qui a chuté de 77% en un an.
Benjamin Pelletier, formateur – management interculturel chez Freelance, chargé de cours à l’Ecole Centrale de Paris, à l’Ecole de guerre économique…, écrivain, donne un éclairage géopolitique de la cabale lancée contre Peugeot, sans doute plus près de la réalité que les invectives partisanes du ministre, largement reprises par nos grands médias nationaux.

Auteur : Benjamin Pelletier - le 21 Juillet 2012

 

Polémia

Commentaires

  • Peugeot n’a sans doute pas accepté de jouer les faux nez du Mossad en Iran. D’où la vengeance menée tambour battant par le fromage mou et le redresseur productif !

  • le gouvernement actuel voudrait faire porter le chapeau à Peugeot , afin de se dédouaner , cela devrait fonctionner avec les naifs !!
    salutations.

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