Une femme a été poignardée vendredi, vers 15 heures, à Paris dans le 18e arrondissement, par un individu qui s'est emparé de son sac à main. Grièvement blessée, elle devait être opérée en urgence à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. L'agresseur a pris la fuite.
Selon le Parisien.fr, qui rapporte l'agression, la victime, âgée de 34 ans, se trouvait dans la rue du Pôle-Nord lorsqu'un inconnu a surgi et a tenté de s'emparer de son sac à main. La jeune femme a résisté avant de se faire poignarder à deux reprise au thorax et au ventre.
Elle a rapidement été évacuée dans un état grave vers l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (13e), où elle devait être opérée. Selon Le Parisien, elle souffrirait d'une perforation d'un poumon. Toutefois, son pronostic vital ne serait pas engagé. Les enquêteurs du 2ème district de police judiciaire (DPJ) ont été chargés des investigations.
TF1 News
Commentaires
Nous en sommes au stade où ceux qui ont des armes de poing, devront porter secours aux personnes agressées par des salauds, quitte à en faire crever quelques uns.
Pourquoi le gros lard de la république et ses copains , la ferment-ils , alors que des ordres rigoureux devraient être donnés pour agir de façon drastique, voire, létale, s'il le faut, contre les voyous ,or il le faut de plus en plus.
notre constitution nous interdit le port d,armes pour notre défense ou celle d,autrui , contrairement aux states!
cette jeune femme aurait du se laisser dépouiller sans moufter, car ainsi le veut le politiquement correct!!
salutations.
C'est pratiquement tous les jours que des blancs se font tuer, par des immigrés d'Afrique, en France, à présent.
C'est aussi tous les jours sans exceptions que les français se font agresser, souvent très violemment par des immigrés d'Afrique, en France, à présent.
Si les chiffres réels des agressions, étaient rendus publics, la Loi ne pourrait nous empêcher le peuple d'assurer lui même sa défense, puisque l'Etat en charge de cela, (c'est dans la Constitution), n'est plus capable de l'assurer.
On nous trahit pour nous maintenir dans un conditionnement de moutons.