«Moi aussi, je peux kiffer quelqu’un. Mais avec les plans du daron, c’est cuit d’avance. » Il fallait oser. Réécrire « l’Avare », la pièce de Molière, façon wesh wesh, c’est-à-dire dans le langage des banlieues, Jean Eyoum l’a fait. Oubliée l’écriture tout en raffinement du XVIIe siècle, le jeune de 21 ans, originaire de Villeneuve-Saint-Georges, a choisi la langue fleurie et imagée de sa cité.
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« J’ai fait ça pour m’amuser, confie l’étudiant en commerce extérieur. J’avais 17 ans, c’était les vacances de Noël, je m’ennuyais. »
Le Parisien - 15/09/12
Commentaires
cela va plaire aux bobos et autres guignols incultes !!
salutations.