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Discours de clôture de la Convention identitaire par Fabrice Robert

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Photo: Fabrice Robert prononçant son discours de clôture.

Chers amis,

Chers camarades,

Voici le moment de conclure cette convention. La IIIème. Voici venue la fin d’un cycle, c’est-à-dire la continuation de la même aventure sous de nouvelles formes.

Nous l’avons dit de nombreuses fois ce week-end : le mouvement identitaire a 10 ans. 10 ans d’avance. Mais nous aurions pu dire, de façon aussi juste, que le mouvement identitaire a 3.000 ans et, qu’en même temps, il naît aujourd’hui.

Le mouvement identitaire n’est ni un parti, ni une association, ni un rassemblement d’hommes et de femmes. Ou, plutôt, il n’est pas qu’un parti, pas que des associations, pas qu’un rassemblement. Il est ici et maintenant mais il n’est pas qu’ici et pas que de ce temps. Le Bloc identitaire peut disparaitre demain. Je peux disparaitre demain. Vous tous, dans cette salle, pouvez disparaître. Et nous disparaîtrons. Pourtant, le mouvement identitaire se perpétuera. Car nous sommes, ici et maintenant, la consistance, l’agrégation provisoire mais lucide et décidée, d’une énergie qui traverse l’histoire, qui tranche les contingences du jour qui passe.

 

Nous sommes Européens ! Nous sommes des fils et nous sommes des pères. Nous sommes les fils des hoplites de Léonidas et d’Alexandre. Nous sommes les descendants d’Aristote et d’Eschyle. Nous sommes les fils des chevaliers francs qui prirent Antioche, Saint Jean d’Acre et Jerusalem et nous sommes également les héritiers de la Renaissance. Nous sommes à la fois le fruit, la chair et l’écorce de la civilisation européenne. En cela, nous sommes aussi des pères ! A notre tour, nous nourrissons les mythes d’hier du feu qui nous habite. Au fil des jours heureux ou d’infortune, nous sommes ici pour enrichir et pour transmettre, nous sommes ici pour réinventer ce qui ne passe pas, ce qui ne passera jamais : l’identité du peuple européen, son devenir.

Discours de clôture de la Convention identitaire par Fabrice Robert

Image finale de la Convention Identitaire 2012, qui s’est terminée ce dimanche à 13h30. Fabrice Robert au milieu. Cliquer sur l’image pour l’agrandir.

Il est facile de brûler telle une torche. Mais c’est ainsi que, rapidement, l’on se consume. Nous brûlons, nous, d’une énergie renouvelable qui a nom enthousiasme, ténacité, lucidité, volonté. Nous étions là il y a 10 ans, nous serons encore là dans 10 ans. Nous avons dix ans d’avance car nous avons 3 000 ans de recul. Nous connaissons la grande histoire, ses flux et ses permanences. Il n’y a pas de limite à notre engagement sinon celui de nos moyens et de l’efficacité parce qu’il n’y a pas de limite à notre amour pour notre peuple, il n’y a pas de limite à notre imagination et à notre espoir.

Quand on fait de la politique, en France, en 2012, on sait que l’on doit accepter de plonger ses mains dans les entrailles d’un système pourri, qui a du mal à digérer des décennies de mensonges et de vols, de veulerie et de lâcheté. On sait qu’il faudrait mieux ouvrir largement et éviscérer. On sait qu’à n’importe quelle époque autre que celle-ci, l’opération aurait déjà eu lieu à l’unanime satisfaction du corps social. Mais nous vivons à une époque où faire de la politique, c’est supporter l’odeur morale de bêtes qui se battent dans leur bauge pour savoir qui sera le plus gras, le plus rose des cochons. Le gland, c’est maintenant ! Faire de la politique aujourd’hui, c’est serrer les dents pour ne pas hurler de dégoût. C’est serrer les poings pour ne pas prendre les armes. C’est se retenir de ne pas hurler de rire quand on voit Manuel Valls se déguiser en Sarkozy et Jean-François Copé singer Marine Le Pen.

Mais, pour nous, faire de la politique en 2012. c’est faire preuve de maitrise, de lucidité et de patience.

Alors, que voulons-nous ?

Le pouvoir. Est-il à portée de main, à un an, à trois ans, à cinq ans ? Sans doute pas. Du moins, le savons-nous. Du moins, ne trompons-nous pas ceux qui nous suivent, ceux qui nous rejoignent chaque jour. Nous ne cultivons pas de vaines espérances. Nous ne vendons pas d’illusions.

Alors, que pouvons-nous ?

Faire pousser nos idées dans ce monde, préparer les moissons identitaires ? Oui. Non seulement, nous le pouvons mais nous le devons et nous le faisons.

Attirer à nous les meilleurs ? Oui, cela est une tache importante. Nous n’avons pas le monopole des bons militants, des bons cadres et des bons chefs. Mais nous savons que nous sommes les seuls à proposer une solution à la crise historique qui se pose à la France et à l’Europe.

Non, nous ne survivrons pas avec une France isolée ou en tentant de traduire Maurice Barrés ou Charles De Gaulle dans le monde de 2012.

Non, nous pensons que l’assimilation comme l’intégration ne sont pas possibles. Et comme nous sommes des scandaleux, nous ajoutons que nous ne les souhaitons pas.

Non, nous ne croyons pas à la sainte croissance éternelle, nous savons que si un autre monde est possible, il ne peut l’être qu’à la condition que le précédent ait disparu.

Non, nous ne croyons pas en l’égalité, en la parité, en la fraternité, en la liberté. Nous croyons en la justice qui reconnait les hiérarchies naturelles. Nous croyons en l’amitié avec nos amis et en la fraternité avec nos frères. Nous aimons trop la réalité, même rude, pour respecter une liberté qui détruit les libertés du réel.

Nous savons qu’après Hollande viendra un président encore pire et puis ensuite un autre encore pire. Car telle est la loi de la Vème république : la décomposition absolue des pseudo élites, la nécrose totale de tout ce qui est sain. Nous savons ce à quoi 55 années de cette république vont aboutir : un mini Brésil ou un méga Liban.

Le Brésil ? Ce pays continent où les favelas de Rio cohabitent avec les centres d’affaires de Sao Paulo peuplées de descendants d’Allemands et de Japonais, de Juifs et de Portuguais. Ce pays où le racisme n’oppose même plus les blancs aux noirs, mais les très noirs aux moins noirs, les moins noirs aux bruns et les bruns sombres aux bruns clairs. Ce pays du métissage généralisé où les riches s’enferment, protégés par des milices privées, et où les pauvres copulent et crèvent de misère. Ce pays qui est un endroit, un lieu, un espace et même une nation de football, mais certainement pas un peuple.

Le Liban ? J’aurais pu dire le Kosovo. Ces terres où la majorité devenue minorité subit la loi des plus nombreux, des plus agressifs, des plus fanatiques. Ces terres où on ne se contente plus de caillasser des policiers et des pompiers, mais où, par le biais de milices armées, on a anéanti tout ce qui se rattachait à l’Occident et à l’Europe.

Alors, pour conjurer ces menaces, que faire ?

La reconquête par les armes ? Quelles armes ? Et qui pour les porter ?

La communautarisation de notre peuple sur son propre territoire ancestral ? Mais quelles communautés ? Pour quelle part de notre peuple ? Où et comment ?

La victoire aux Présidentielles ?

La réalité est que si à ce jour il ne semble pas exister de solutions, c’est que nos esprits ne sont pas prêts à en trouver. C’est que cette réalité qui nous semble dure est encore trop douce. Face à un péril plus immédiat, la nécessité suppléera à l’imagination. La libération des solutions suit toujours la libération de la parole et des esprits.

Cependant si les solutions sont encore captives de l’avenir, il existe déjà des certitudes solides.

La certitude que nous avons raison. Non d’une vérité sempiternelle et universelle, mais d’une vérité qui nous est propre. D’une vérité qui est action, parce qu’elle est perception du réel. D’ne vérité qui est celle d’un peuple qui veut préserver son identité. Or, pas d’identité sans peuple, sans territoire. Ici, c’est chez nous. Depuis toujours et pour toujours, tant que l’un d’entre nous marchera sur ce sol.

La certitude que rien ne se fera sans les militants. Nous sommes, vous êtes, le ferment de notre peuple, la pointe historique de la flèche du destin. Un mouvement sans militants, comme c’est le cas de ceux du système, c’est-à-dire un mouvement sans militants qui acceptent de se faire casser la gueule, d’aller dormir au poste ou de se lever à quatre heure du matin, ce n’est pas un mouvement. C’est un syndicat d’ambitions. Un vaporisateur de vent. Ce n’est rien.

La certitude que rien ne se fera sans style. Le style, c’est-à-dire une certaine attitude dans la vie. La volonté d’incarner celui que l’on voudrait être, d’exsuder ses rêves et de s’imposer sa puissance d’exister.

La certitude que rien ne se fera sans mémoire, sans savoir, sans culture. Nous ne voulons pas de militants qui ne pensent pas, qui collent des affiches sans réfléchir. Nous voulons des militants qui viennent à nous librement, qui restent avec nous en hommes et en femmes libres. Quand on demande à des militants de se battre pour un peuple et une civilisation, alors, on leur demande de vivre et de lutter pour des livres et des chants, des philosophies et des statues. Nous ne demandons pas qui croit en Apollon ou en le Christ, mais qui veut que continue la pensée européenne et ses 35.000 années d’histoire.

La certitude que rien ne se fera si, à un moment donné, on ne donne pas tout. Il y a des époques où l’on peut vivre d’accommodements. C’est encore la nôtre. Mais qui ne sent pas que si, déjà, nous allions plus loin, la situation serait meilleure, nous semblerait porteuse d’espérance ?

La vie ne donne que ce qu’on lui donne. N’oublions jamais sa leçon. C’est parce que, pour l’heure, nous n’avons encore donné que peu, que nous ne recevons que peu. C’est parce qu’un jour, nous aurons tout donné que peut-être nous aurons tout, et la victoire de surcroît.

Voila, entre autres, ce que je voudrais que vous reteniez. Le combat politique, au sens le plus vrai et donc le plus noble, est nécessairement un combat total, un combat de la vie, dans la vie, pour la vie. Un combat de l’exemple, à commencer par celui que l’on se donne à soi-même. Une vie réussie, ce n’est pas un discours, c’est une ascèse de l’action.

Le 20 octobre dernier, nos camarades nous ont montré que cet exemple, que ce don supplémentaire de soi, existait. C’est une chose d’aller coller des affiches ou d’aller manifester gentiment devant une ambassade ou un palais des congrès. C’en est une autre que d’aller occuper à l’aube le chantier de la grande mosquée de Poitiers en sachant qu’avant la fin de la journée, on sera arrêté, mis en garde à vue et poursuivi par l’Etat socialiste et sa police. Je souhaite ici saluer ces militants qui ont baptisé Génération Identitaire de la meilleure manière : en se jetant tout entier dans le grand flot médiatique.

Cette action illustre ce que nous sommes et ce vers quoi nous voulons aller. Nous voulons et nous devons être des exemples. Non à copier, non à singer, mais à vivre, chacun à sa façon. En venant chez nous, on ne devient pas plus intelligent ou plus courageux. On devient ce que l’on mérite d’être. Pour peu qu’on soit honnête avec soi, avec les camarades, pour peu que l’on mette en actes ses désirs, qu’on mette de la volonté dans sa vie, alors, on se révèle.

Le mouvement identitaire ne vaincra pas seul. Mais personne ne vaincra sans nous. Personne ne vaincra si nos méthodes, nos mots d’ordre ne sont pas repris.

Nous sommes parfois attaqués par nos adversaires qui expliquent que nous ne représentons rien, que nous ne sommes pas grand chose. A ceux là, j’ai envie de répondre : “Mais alors, qu”est-ce que ça serait si nous représentions quelque chose ?! Qu’est-ce que ce serait si au lieu de 100 militants sur un toit nous étions 10 000 sur 100 toits ?!”.

Quand on voit le travail fourni, le terrain gagné, les batailles symboliques remportées avec ce “pas grand chose” que nous serions, alors, je me tourne vers ceux qui, parait-il, représentent quelque chose, ceux qui “pèsent” comme on dit, ceux qui passent sur les plateaux de télé, ceux qui bénéficient de l’argent public. Et je leur dis amicalement : “Et vous, que faites-vous ?”.

Je suis régulièrement en contact avec des militants ou des cadres subalternes de l’UMP. Je reçois des encouragements, des félicitations. A ce fait, on mesure combien un Copé a besoin de ses histoires de pains au chocolat pour espérer l’emporter à la tête de l’UMP. Le peuple militant UMP est largement identitaire. En cela, il ressemble au peuple tout court.

Je suis aussi en relation régulière avec des cadres du Front national. Je sais aussi que nombre de secrétaires départementaux, élus régionaux, simples militants, suivent ce que nous faisons avec sympathie, parfois envie. Certains se disent : “Et nous ? Quand ferons-nous cela ? Alors, de temps en temps, quelques-uns nous achètent des affiches et vont les coller. Cela n’a l’air de rien mais c’est très symbolique. Quand des membres d’un parti vont coller les affiches d’un autre, ce n’est pas qu’une affaire de plaisir. C’est aussi une question de ligne politique et stratégique.

La ligne politique du Front national est claire. Elle est républicaine, laïque, nationale, en le sens qu’elle ne croit qu’en la nation, qu’elle la place au premier rang de ses préoccupations. Notre ligne est aussi claire : identitaire et donc anti-jacobine, écologiste et donc anti-croissance, européenne et donc favorable à un bloc continental. Nous nous sentons liés à la même origine et au même destin qu’un Italien, un Polonais ou un Irlandais.

La ligne stratégique du FN découle de sa ligne politique. Tout pour et par les élections. Tout pour et par un appareil. Quand on pèse 18%, cela a un sens.

Notre ligne stratégique découle de notre analyse et de notre tempérament. Tout pour et par l’action de rue, le happening, tout pour éveiller les esprits, montrer la voie.

Je ne crois pas ces lignes antagonistes. Je les sais complémentaires. Au sein du camp de l’identité française, il peut y avoir désaccord, il ne doit pas y avoir affrontement. En tous les cas, pour ma part, je m’y refuse.

Le mouvement identitaire est le mouvement qui, sur les questions d’immigration, déplace le curseur sur ce que l’on appelle la droite. Nous ne sommes pas de ceux qui disent tout haut ce que pensent les gens tout bas. Nous sommes les seuls qui faisons au grand jour ce que les autres ne font pas.

Mais si nous sommes les seuls, nous ne sommes pas seuls.

En moins de 2 ans, nous avons levé une armée de sympathisants fidèles, généreux et très présents. Leur soutien financier permet d’organiser aujourd’hui des actions qui, sans cela, n’auraient pas été possibles. Ils sont notre base logistique. Grâce à eux, nous pouvons envoyer nos militants au feu en sachant que, derrière, ça tiendra.

En 10 ans, nous avons transformé un groupuscule en un mouvement qui existe sur la scène nationale. Nous avons fait le plus difficile : nous avons créé une marque. Il n’est désormais pas rare de nous voir une action attribuée, faite par d’autres, au motif qu’elle ressemble à une action identitaire.

En soi, notre bilan est remarquable. Je ne connais pas d’autre exemple sur ces 20 dernières années de mouvement passé du néant à une existence réelle et reconnue comme telle.

Je lis parfois des articles qui nous critiquent. Nous aurions du faire ça, nous n’aurions pas du faire ci. Les uns disent qu’il ne fallait pas aller sur le toit d’une mosquée. Que ce n’est pas correct. Voire un peu sale. Populaire. Béotien. Pour ces penseurs, la révolution européenne passe par des conférences discrètes, devant un public choisi, dans l’intimité d’une salle de Novotel. Pour ceux-là, en gros, nous osons trop…

D’autres, eux, crient, qu’au contraire, nous n’en faisons pas assez. Il fallait rester sur le toit de la mosquée en se battant jusqu’au dernier. Ils se réjouissent d’ailleurs de ne pas être des nôtres et réservent leurs forces pour le dernier carré, sans doute celui pour la route.

Bien sûr, nous sommes critiquables. Et nous ne nous privons pas d’exercer sur nous-mêmes notre esprit d’analyse. Mais si j’évoque ces critiques, ce n’est pas pour m’en plaindre. Au contraire ! C’est pour m’en réjouir.

Voir converger vers nous en masse, de la presse, du Net, des blogs, autant de critiques, d’analyses, de questionnements, de félicitations, d’insultes, de menaces, de bravos, veut dire une chose qui se résume en deux mots : nous existons !

Nous existons en tant qu’objet politique. Nous existons aussi en tant que média, en tant que créateurs d’informations et diffuseur d’informations. Média aussi car nous sommes des intermédiaires entre ce que ressent une partie majoritaire du peuple et les castes qui nous gouvernent. Nous mettons des actes et des mots sur ce ressenti de notre peuple. Nous donnons du corps. Nous donnons de l’existence.

Tout est lié. Quand Copé parle de ses pains aux chocolats, il cherche juste à séduire des électeurs. Il ne voit pas plus loin que le bout de sa carrière. Quand Thierry Mariani, ancien ministre des transports de Sarkozy, dit avoir des “inquiétudes communes” avec les Identitaires, il ne cherche pas autre chose que continuer à camper un personnage d’homme de droite, très à droite.

Mais leurs propos sont liés aux nôtres. Ils sont en aval. Nous sommes en amont. Ils veulent faire leur trempette électorale dans les eaux qui montent. Nous annonçons les tempêtes qui déjà dévalent vers nous.

Il y a 10 ans, Jean-François Copé vantait le métissage, l’Islam de France. Que dira-t-il dans 10 ans, si toutefois, il existe encore politiquement… Parlera-t-il comme nous de “fracture ethnique” ? Parlera-t-il non plus d’immigration zéro mais de retour à 100% ?

Qu’on ne s’y trompe pas. Nous ne sommes pas fiers de voir des Copé, des Mariani, se rapprocher de nos thèses. Ils sont, au même titre que les socialistes, responsables de l’état de ce pays. Mais nous sommes satisfaits de les voir contraints de changer de discours. Nous sommes satisfaits de les voir parler identitaire, même s’ils le parlent mal, comme des enfants qui découvrent une langue étrangère.

Cela s’appelle une victoire culturelle. Une occupation du champ de la pensée. Une amorce de victoires politiques potentielles.

C’est vers ces victoires possibles qu’il faut à présent se tourner. Le plus important est à venir. Le plus exaltant aussi, sans doute.

J’appelle tous les Identitaires de ce pays à se joindre à nous. J’adresse un message à toutes les forces patriotes. A tous je dis : “On ne partage pas l’espoir, on le multiplie par le combat !”.

Et c’est ainsi que je souhaite conclure : Espoir ! Combat ! Espoir et combat !

Pour qu’à chaque matin de nos vies, l’or de l’aurore revienne répondre à l’or du couchant.

Crédit photos : Novopress (cc).

[cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

Commentaires

  • Formidable discours de Fabrice ROBERT ! Des mots jamais entendus dans AUCUN discours politique ces dernières années !
    Ces mots donnent un sacré coup de vieux aux concepts classiques du stato-nationalisme français ! On ne pourra pas récupérer ce discours sur notre identité et sur la catastrophe du métissage de masse !

    "Le mouvement identitaire ne vaincra pas seul. Mais personne ne vaincra sans nous. Personne ne vaincra si nos méthodes, nos mots d’ordre ne sont pas repris."
    J'en suis tout à fait convaincu ! Voilà des jeunes qui donnent vraiment envie de se battre !

  • Très beau discours de Fabrice Robert ! Quel courage : il nous rappelle JMLP dans ses plus grands discours ! Et il nous redonne espoir tout en ouvrant ses bras à un grand rassemblement national et patriotique.
    Et très belle photo finale !

  • Cher abad, c'est un discours absolument magnifique! Je l'ai posté dans son intégralité, car il faut en lire chaque ligne.
    La phrase de la fin est splendide:

    "Pour qu’à chaque matin de nos vies, l’or de l’aurore revienne répondre à l’or du couchant. "

  • dommage que Marine refuse toute collaboration avec ce mouvement ! elle a d,ailleurs ses raisons , surement!
    salutations.

  • Ma chère Gaëlle, je suis d'accord avec vous, c'est un très beau discours, et je suis d'accord avec Fabrice Robert, le seul rempart à opposer à l'Europe mondialiste, c'est l'Europe des régions et des terroirs, contre ça, ils ne peuvent rien, le nationalisme est artificiel et n'a pas les armes nécessaires pour lutter contre le grand chambardement.
    Quant à la dernière phrase du discours de Fabrice Robert, c'est aussi la dernière d'un chant que vous ne connaissez peut-être pas ? "mais pour que toujours sur terre reste un point de ralliement, d'âge en âge sont fidèles les hommes de notre clan, et nous paierons d'âge en âge le tribut de notre sang, afin que l'or de l'aurore réponde à l'or du couchant"

  • @ dragon: merci pour votre commentaire. Non, je ne connaissais pas ce chant magnifique, ni cette phrase d'honneur et de fidélité.

    Amitiés identitaires

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