Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

On lui retire sa légion d’honneur pour faits d’OAS !

 

Jean-François Collin

Vu sur Le Gaulois :

« Les bassesses se succèdent. Les socialistes décorent un imam de la Légion d’Honneur mais la retirent à Jean-François Collin, un Ancien Combattant mutilé pendant la guerre d’Algérie. Prétexte invoqué par la mafia socialiste : il a appartenu à l’OAS.
Nous avons vraiment à faire à un État pourri jusqu’à la moelle qui patauge en pleine trahison !
Les socialistes et leurs vassaux auront un jour des comptes à rendre ! Et ils le savent. C’est pourquoi « les chacals craignent pour leur peau… »
Ainsi, cet ex-membre de l’Organisation de l’Armée Secrète (OAS) s’est vu retirer sa Croix de Chevalier de la Légion d’Honneur. Elle lui avait été décernée en 2011 à titre militaire comme mutilé de guerre en Algérie.
Rappelons ici que François Hollande est Grand Maître de l’Ordre en « qualité » de président de la république. Cette décision inique croit pouvoir s’appuyer sur l’article R96 du code de la Légion d’Honneur qui stipule que les peines disciplinaires (censure, suspension totale ou partielle, exclusion) « peuvent être prises contre tout légionnaire qui aura commis un acte contraire à l’honneur ». Comme si l’appartenance à l’OAS était un manquement à l’Honneur !…
Or, de plus, les membres et les faits relatifs à l’OAS ont été amnistiés depuis longtemps .

C’est à cet « homme » qu’il devrait être interdit d’arborer la Légion d’Honneur !

* Marc Noé a été président de la section UNP-Essonne qu’il avait faite baptiser « Section Colonel Jeanpierre – 1er REP » avec Pierre Sergent pour parrain.

Amnisties de l’OAS
Dès le mois de décembre 1964, les prisonniers OAS condamnés à des peines inférieures à quinze ans de détention sont amnistiés, car il s’agit de prisonniers politiques.
En mars 1966, une centaine de condamnés est graciée et, trois mois plus tard, une seconde loi d’amnistie efface les condamnations des condamnés libérés.
Le général Jouhaud, condamné à mort le 13 avril 1962, passe 235 jours dans une cellule de condamné à mort, sa peine est commuée en perpétuité, il est libéré en décembre 1967.
En 1968, des anciens de l’OAS rencontrent Jacques Foccart pour lui proposer leur ralliement au régime gaulliste contre la «chienlit» et demander l’amnistie des membres de l’organisation encore incarcérés, ce qu’ils obtiendront.
Cette amnistie est promise par De Gaulle à Massu, lors de sa visite à Baden Baden.
En juillet 1974, une amnistie complémentaire efface d’autres condamnations pénales.
En décembre 1982, les officiers survivants sont réintégrés dans les cadres de l’armée par une nouvelle amnistie (loi du 24 novembre 1982). C’est ainsi que le Capitaine Pierre Sergent, Chef de l’OAS-Métropole, atteindra le grade de Colonel de Réserve.
En 1987, une loi sur les rapatriés amnistie les dernières condamnations encore effectives.»

Contre-info.com

Commentaires

  • Gloire aux anciens de l’OAS qui ont sauvé l’honneur de la France !

  • Quand n'importe quel histrion ou imam reçoit cette médaille, il n'y a plus aucun honneur à la posséder. Le dessinateur Tardi (illustrateur de Céline) l'a rejetée avec le dédain absolu qui convient. Les gens d'honneur ne s'y tromperont pas et exprimeront toute leur sympathie à Jean François COLLIN...qui lui au moins sait de quoi il retourne lorsqu'on parle d' "honneur" !
    ...ce n'est qu'une manifestation de plus de la pourriture de ce Régime nauséabond !

  • Gloire aux anciens de l'OAS, honte aux socialopes !

Les commentaires sont fermés.