16/03/2013 – 18h45
PARIS (NOVOpress) – Longtemps dénoncée comme un fantasme, assimilée à un outil de propagande de l’extrême droite, la haine antiblanche était, jusqu’à récemment, déconsidérée par nos élites politiques et médiatiques. Pourtant, cette douloureuse réalité touche un nombre grandissant de Français. Agressions, insultes, viols… Cette forme particulière de haine raciale existe bel et bien. Mais aux yeux de ses détracteurs, affirmer en être victime est une erreur : c’est refuser le sacro-saint vivre-ensemble, érigé en valeur suprême de la société multiculturelle.
A l’heure où de grossières et opportunistes tentatives de récupération politicienne se font entendre, l’ouvrage «Sale Blanc ! » vient, témoignages et chiffres à l’appui, rendre compte d’une réalité méconnue et volontairement dissimulée par les gouvernements de droite comme de gauche.
Source et commandes du livre : Editions Idées.
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Commentaires
Les journalistes nous le disent pourtant que cela n'existe pas.
Sur toutes les chaines et surtout sur Canal +.
Fallait le faire, quand même; et sans se démonter le moins du monde.
Nous sommes tous là pour témoigner du contraire, et cela ne les gêne en rien.
@ raul: pour m'être fait cracher dessus et insulter quatre fois fois en étant traitée de "sale Blanche! sale Française!", je sais que le racisme anti-blanc existe bel et bien.
1) sur une plage où je lisais tranquillement un livre
2) à la Poste, pour passer avant moi dans la file d'attente
3) dans une avenue du centre ville de Marseille où je me promenais
4) dans un bus où j'étais assise et parlais avec une amie
AUCUNE altercation préalable: les insultes et crachats ont fusé gratuitement!
il est évident que les journaleux de Canal plus resteront dans la ligne du politiquement correct !!
cela ne peut que géner les assocs et autres, que cette triste réalité réveillerait certains (es) de nos concitoyens , qui sont habitués à entendre que les seuls salauds de racistes ne seraient que les blancs qui sont d,ailleurs coupables de tous les maux de l,humanité depuis la nuit des temps!!
salutations.
Attention !
Déclarer que le racisme anti blanc existe, cela frise l'antisémitisme et le cisconcistoire se doit de réagir ;o)
@ téléphobe: alors disons simplement que ce n'était pas du "racisme", mais des incivilités ! Un manque d'éducation... une autre forme de culture...
Sans aucun rapport: vous connaissez le chloroforme de culture? °)°
@Téléphobe :
La méthode principale de neutralisation de tout un peuple de ces gens entièrement dévoilée en deux lignes : bravo.
Bonsoir Gaelle,
Je comprends absolument tout de ce que vous dites.
Sans compter les agressions verbales et les regards haineux qui soutenus provoquent le conflit. Directement.
J'en suis à plus de 3 séries d'échanges de coups, en des lieux, époques, si variés et occasions si anodines que cela ne relève en rien du hasard. Je l'ai vécu.
Je ne baisserai plus jamais le regard. Autant dire que je finirai peut être (ou un adversaire) dans les faits divers.
J'ai travaillé quelques années à Marseille et vécu 2 ans, à côté du cinéma du rond point du prado (face au monoprix).
Dans Français, n'est plus à l'abris nulle part, de ces déchets. Nulle part.
Mais Marseille, est la ville ou la tension est la pire. J'y ai été témoin de tant de choses : la peur, la colère des blancs soumis au hasard des oufmas. Et l'impunité de ces sacs de oufmas.
C'est intenable à terme, Gaelle.
En fait, cette semaine, en petit comité autour d'un café matinal, j'ai constaté que -toutes- les personnes présentes à notre table, avaient eu des problèmes. Toutes.
Gratuitement.
Les journalistes savent. Ils mentent. S'ils lâchent prise, s'ils cessent la manipulation, le peuple s'éveillera, et les massacrera.
S'ils ne lâchent pas prise, le peuple mettra plus de temps à s'éveiller.
Ils tiendront la barre aussi longtemps que possible.
Ils y jouent tous leur tête.
Mais sans vouloir passer pour le pessimiste de service, je crois que c'est trop tard.
On n'est pas assez unis, pas assez conscients, pas assez déterminés. Et le temps nécessaires à l'éveil de cela, sera de trop.
Bien à vous