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"Un drame sans précédent" pour Valls - 21/05/13

Commentaires

  • Pauvre petit Valls ! Il est mentalement, culturellement et idéologiquement bien incapable de comprendre le geste de Dominique VENNER, qui n'était pas un "homme désespéré" ! Il devrait s'informer un peu sur la grandeur du personnage et la dimension de son oeuvre ! Idem pour le recteur de Notre Dame qui a tenu des propos condescendants, voire méprisants du même tonneau, exprimant finalement un manque de respect pour le caractère aristocratique (et éminemment politique) de son suicide !
    Nous aurons droit au déversement habituel de propos fielleux et mensongers contre un personnage que les "modernes" sont bien incapables de comprendre et encore moins d'accepter !
    Que Venner, le "coeur rebelle", reste une référence pour nous tous !

  • Valls n’a rien eu de plus pressé que de se rendre à Notre-Dame. Car il n’a pas d’autre question à traiter actuellement : tout va très bien madame la marquise ! Mais on comprend bien pourquoi : il s’agit de contrôler étroitement l’information concernant ce suicide pour que le bon peuple ne sache pas qui fut ce grand patriote et le sens de son acte final !

  • @ abad: ceux qui n'ont pas d'honneur ni d'amour de la France ne peuvent pas comprendre le sens de son acte.

  • @ Dirk
    L'apatride franc-mac Valls comprend très bien. C'est bien pour cela qu'il tente d'occulter la portée du message délivré par le geste de Venner.

  • Dominique Venner a choisi son destin.
    sa vie exemplaire, droite, noble, qui s'inscrit dans la tradition, est à citer à tous autour de soi. Nous le connaissions et il nous dépassait tous.
    sa mort malheureusement, si courageuse soit-elle, desservira notre cause.
    Elle a été balayée d'un revers de la main par les média et ramenée à un geste de quelqu'un de malade, ce qui permet à la collabosphère et aux médias de dévaluer maintenant toute son oeuvre intellectuelle et militante.
    elle ne s'inscrit pas dans la tradition de samourais qui, contrairement à des mythes inexacts répandus en France , ne passaient pas leur temps à s'ouvrir le ventre . Pour eux la vie consistait à marcher "à côté de la mort" ce qui veut dire que jusqu'au dernier souffle , il faut tenir, se tenir, face à l'adversité et face à l'ignominie. Au japon , dans les temps anciens , son geste n'aurait probablement pas été considéré comme relevant du Budo par nombre de maîtres. Il faut choisir la vie à tout prix, et continuer à maintenir la vie et donner la vie, respecter la vie contribue à respecter notre histoire et nos traditions.

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