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Fin de la bourse au mérite: le délitement républicain par circulaire...

Communiqués / 9 juillet 2013 

Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

C’est par une simple circulaire que le ministère de l’enseignement supérieur devrait annoncer dans les prochains jours la fin de la bourse au mérite. D’un montant de 1800 € par an et attribuée aux élèves boursiers ayant obtenu la mention très bien au baccalauréat ou se classant parmi les meilleurs étudiants en fin de licence, cette aide régalienne incarnait toute les valeurs de méritocratie de l’État.

Récompensant le mérite et l’excellence de ceux qui, malgré le défaitisme ambiant, se saisissent à bras le corps de l’opportunité donnée par l’école de la république, la bourse au mérite était une des rares utilisations de nos impôts encore épargnée par le relativisme galopant du gouvernement.

Haro sur l’effort, sur le travail, considérés comme des valeurs passéistes, voire réactionnaires ! Halte à la méritocratie, à l’ascenseur social par l’excellence, qui dérange les petites castes du pouvoir et permettait, jadis, lorsque ces valeurs étaient encore au centre de l’action de l’État, de faire émerger des élites venues du peuple, de la campagne et de ses travailleurs silencieux plutôt que des médiatiques banlieues que l’on pousse à coup de discrimination positive.

C’est par circulaire, de la plus administrative et froide des manières, que l’État achève donc une des dernières composantes de la méritocratie républicaine française pour laisser place au relativisme et au nivellement par le bas. Des milliers d’élèves méritants qui se réjouissaient d’être reconnus pour leur travail et soutenus dans leurs prometteuses poursuites d’étude sont aujourd’hui dépités de cette nouvelle. Si l’alternance UMPS se poursuit, ils risquent bien de devoir s’habituer à ce sentiment.

Commentaires

  • On devine aisément pourquoi dans certains collèges ou lycées ( et même avant) le chahut des élèves, voire leur agressivité n'est pas combattue ni réprimée, que les professeurs en ont par dessus la tête d'un métier autrefois considéré et noble, avec aussi un constat honteux, certains directeurs, en recherche de leur petite promotion, donnent pour consigne :
    "Pas de vagues ", la carrière, l'avancement sont leur seul souci, sur le dos des professeurs.
    Quelle honte. Triste France. Abominable république, mais à quoi servent donc députés et sénateurs, à part leur Gamelle ?

  • fini depuis belle lurette l,école des hussards de la république !
    une bonne partie des profs est à gauche et à l,extréme-gauche ,qu,ils et elles se démerdent avec leurs éléves récalcitrants et plus!!!
    salutations.

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