Le 12 juillet, le jour du déraillement à Brétigny-sur-Orge, la SNCF a été confrontée à un acte de malveillance sur la ligne Paris-Limoges. En cause: le démontage d’une "éclisse", le même type de pièce qu’à Brétigny-sur-Orge.
Alors que les enquêtes se poursuivent sur les causes du déraillement d’un train à Brétigny-sur-Orge (Essonne), nous apprenons que la SNCF a été victime, le même jour, d’un acte de malveillance sur le même axe Paris-Limoges, du côté de la gare de triage de Saint-Sulpice Laurière, dans la Haute-Vienne.
Une locomotive, qui circulait à vitesse réduite et sans tracter de wagons de voyageurs, a déraillé. D’après des techniciens de la SNCF, des éclisses (lourdes pièces d’acier) et des boulons ont été démontés et retrouvés sur le bas-côté. L’acte de malveillance ne fait aucun doute.
Dans l’affaire de Brétigny-sur-Orge, une éclisse est également à l’origine du drame qui a fait 6 morts et une trentaine de blessés.
Sources : Youtube / L’Express / Le Journal du Siècle
Commentaires
Un sabotage peut en cacher un autre !
- Probablement un intérimaire, qui aura appris comment saloper un truc.
Les politiciens et médias sont coincés.
1 - Nous savons que les racailles, n'hésitent plus à attaquer les trains.
2 - Si des jeunes semblent avoir été aux premières loges, il semble assez évident qu'en cas de sabotage, les premiers soupçons se porteraient très rapidement sur eux.
3 - Nous savons aussi, que le sport favori des racailles de banlieues, est notamment, la compétition du nombre de voitures brulées etc : une sorte d'interville à la mode africaine.
4 - Là, avec le déraillement de Brétigny, en cas d'accusations ou de soupçons médiatisés des communautaristes, cela pourrait donner lieu à un sport national de train sortant des rails.
5 - Mais il n'est plus exclus à présent sur la base de tels possible sabotage, que les déraillements de trains, deviennent un "phénomène" nouveau dans le détestable spectacle de la transformation de la France en pays du tiers monde, par les ordures mondialistes.
Nous devrons probablement tôt ou tard, prendre les armes pour nous défendre.