Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Délitement communautariste de la France : nouvelles lois contre les « discriminations »

Seine-Saint-Denis-500x454.jpg

 

                                                            

 
 

15/09/2013 – 16h00
PARIS (NOVOpress via Kiosque courtois) –
C’est en effet la question que l’on peut légitimement se poser avec les deux propositions de lois déposées mardi au Sénat et à l’Assemblée nationale. A l’initiative du député PS de Seine-Saint-Denis Razzy Hammadi (photo) et de la sénatrice Europe Ecologie Les Verts Esther Benbassa, ces propositions de lois visent à mettre en place un recours collectif en matière de discrimination.

Ces recours sont inspirés des modèles américains des « class actions ». Ces derniers offrent la possibilité, pour des personnes s’estimant victime d’un préjudice commercial, environnemental, social ou encore sanitaire, lié à son genre, son orientation sexuelle, son handicap ou son origine ethnique, de déposer plainte de façon collective. Aux Etats-Unis, ces recours collectifs ont abouti sur une « judiciarisation » exponentielle de la société : tout devient désormais sujet de possibles condamnations devant les tribunaux.

 

Les groupes de pression « antiracistes », dont les pouvoirs sont déjà exorbitants, vont en sortir encore renforcés

Comme le soulignent leurs initiateurs, ces propositions sont le fruit d’un long « lobbying » du milieu associatif, et tout particulièrement du président du Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN), Louis-George Tin, ainsi que de la LICRA.

Lorsqu’une condamnation pour discrimination sera prononcée, ces recours collectifs permettront à toute personne estimant avoir subi un préjudice similaire de se manifester dans les six mois qui suivent, et de prétendre être indemnisée. Ainsi, un immigré qui s’estime victime d’un délit de faciès pourrait être indemnisé sur la base d’une condamnation déjà existante. D’autre part, ces propositions renforcent le pouvoir des associations antiracistes puisque les victimes doivent passer par leur biais pour être reconnue comme telle. Ces associations avaient déjà vu leurs pouvoirs renforcés avec la possibilité de se constituer partie civile lors d’une discrimination, débouchant sur une véritable traque des citoyens. L’instauration de tels recours en France laisse donc présager d’importantes dérives.

Crédit photo : Parti socialiste, via Flickr, (cc).

[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

Commentaires

  • les blancs discriminés dans leur propre pays par le Systéme sont aussi légions , mais leur cas ne sera pas retenu , car il ne faut remettre en cause le plan du grand remplacement. .!!
    salutations.

  • L'église orthodoxe russe, elle, est du bon côté :

    http://fr.rian.ru/politique/20130917/199321469.html

  • Bouboule razzia Hammadi, la diversité socialope ;o)

  • Ces tarés allogènes, au lieu de remercier les autochtones de leur permettre de vivre sans rien faire, les persécutent.

  • anonyme , on ne remercie pas les faibles , on leur botte le cul . . .!!
    si les autochtones ne savent pas se défendre , leur disparition est alors programmée tôt ou tard. . .!!!
    salutations.

  • Si seulement les autochtones pouvaient se défendre sans risquer de payer ou d'aller en prison...

    Ils faudrait qu'ils soient des millions!
    Ok j'arrête de rêver...

Les commentaires sont fermés.