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Dis moi ce que tu aimes… Par Bruno Gollnisch

 

PS corruption

Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls, partisan de la disparition de notre souveraineté nationale, membre du Siècle, humaniste,  nouveau chouchou des médias,  est forcement un mondialiste bien sous tous rapports.  Incapable de juguler l’explosion de la délinquance,  partisan de la poursuite de la dilution de l’identité française par l’immigration de peuplement, les  naturalisations  massives et de distribution  accrue de papiers français aux immigrés non européens, M. Valls  aime pourtant  jouer au dur. Il aime aussi donner en exemple sa  servilité vis-à-vis des mots d’ordre du Nouvel ordre mondial sous pavillon américain. Ce  fut le cas hier sur Europe 1 lorsqu’il a  accusé  Marine d’être  «dans le degré ultime de l’outrance et dans le degré zéro de l’analyse politique». Et ce, vous l’aurez compris au motif  que la présidente du FN   refuse de  soutenir  les  bellicistes atlantistes  qui veulent la mort de l’Etat laïc syrien.  Régime de Bachar el-Assad qui est effectivement « la moins pire de solutions » n’en déplaise au ministre de l’Intérieur  et à ses amis.

 Marine le Pen « n’aime pas la France et est incapable de porter un projet pour la France », a encore déclaré Manuel Valls récitant la petite phrase imaginée par ses communicants. Une   saillie qui ne manque pas de sel dans la bouche d’un homme qui a fait toute sa carrière au sein d’un PS qui est devenu au fil des ans une caricature de Parti de l’étranger. Soit un  agrégat de défense d’intérêts  clientélistes et communautaires,  chargé de vendre au bon peuple de gauche  les bienfaits  l’Europe de Bruxelles, de la monnaie unique,   de l’ultra libre-échangisme  mondialisé.

 M.  Valls sait aussi mettre les mains dans le cambouis pour verrouiller sa boutique. Selon Valeurs actuelles il a chargé Yves Colmou, ancien chef de cabinet de Michel Rocard à Matignon, ex conseiller de Lionel Jospin,  secrétaire national adjoint aux élections du PS, « récemment nommé préfet sans affectation, de s’occuper personnellement des nominations pour le corps préfectoral au sein de son cabinet ».

  M. Colmou a en effet un CV qui parle pour lui : «  Fondateur, en 1995, du département collectivité locales au cabinet Progress (dont le vice-président était Jean-Paul Huchon), Colmou s’est spécialisé dans le recrutement de hauts fonctionnaires de gauche pour les collectivités. »

 « Il refusait  dans le cadre de ses activités de consultant, de recevoir et d’aider les fonctionnaires classés à droite. Valls a  en outre, chargé son homme de l’ombre de superviser le redécoupage électoral (…).   Colmou va redécouper les circonscriptions des personnes qu’il a nommées dans ses activités privées et qu’il continue de nommer dans ses fonctions actuelles ». Bref précise Pierre Guyot sur le site Atlantico, M. Colmou est chargé de  « vérifier que cette nouvelle partition du territoire des départements ne portera pas préjudice aux élus locaux de gauche ».

 Tripatouillage électoral pour sauver les meubles l’année prochaine qui s’accompagne d’annonces démagogiques sans laquelle la gauche ne serait pas la gauche. Le Figaro se faisait l’écho aujourd’hui des réflexions du ministère de la Famille de  Dominique Bertinotti sur  un «statut de prémajorité» pour les adolescents de 16 à 18 ans.

 L’objectif serait de «passer progressivement à l’âge adulte (…).  Il ne s’agit pas de basculer tous les droits de 18 à 16 ans, mais de  grappiller  ce qu’il serait possible de faire dès 16 ans. Les experts réfléchiront aussi à la façon dont on pourrait associer les mineurs aux décisions qui les concernent, en matière d’éducation et d’orientation professionnelle notamment (..). »

 Est  ainsi  étudié  «  la possibilité d’accorder de nouveaux droits aux enfants.» Une idée qui est venue à (Dominique Bertinotti)  après son expérience de maire du IVe arrondissement de Paris, où elle avait institué des conseils d’enfants et des conseils de jeunes. Une idée qui correspond aussi au souhait de François Hollande de faire de la jeunesse sa priorité»…

 La priorité de la jeunesse ce ne sont pas des mesures gadgets  de ce type, le mariage pour tous, les assemblées bla-bla, mais de pouvoir s’insérer dans la vie active grâce à des filières d’études d’études et/ou d’apprentissages  performantes.La priorité de la jeunesse   c’est de trouver du travail dans un pays dont l’Etat défend la souveraineté,  la prospérité,  l’identité,  les intérêts nationaux d’abord . Un Etat qui au lieu de l’attaquer,  défende aussi la famille, lieu  de transmission des valeurs, d’éducation, de protection,  au sein de  laquelle les enfants sont les plus aptes à s’épanouir.

 Bruno Gollnisch le rappelait, « encore faut-il que l’Etat ne favorise pas le désordre moral. Je crois que dans la vie sociale, il y a un certain nombre d’équilibres à faire respecter,  que la famille est la cellule pour l’accueil de la vie, et pour l’éducation des enfants, et  qu’elle constitue notamment  la meilleure prévention contre la  délinquance. »

 Dans ce domaine là également, la rupture avec les  politiques menées par l’UMPS sont  d’une urgente nécessité.

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