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Bon appétit avec la Casa Barilla!

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Spaghetti aux gambas, artichauts, courgettes, tomates cerise, cébettes, pignons...

Commentaires

  • Hummm!
    Barilla, c'est les pâtes préférées des Italiens.
    Les miennes aussi d'ailleurs. Je suis très porté sur les formes cellentani.
    Et puis si un patron n'a pas le droit d'avoir un avis (fort modéré d'ailleurs .... Qu'à t-il donc dit de méchant ce pauvre homme? Rien!).
    Cet avis n'offense donc que ceux qui cherchent la oufma pour un oui, ou un non!
    C'est un non événement dont la presse fait un événement.
    Toujours la même technique.
    Pour capter l'attention d'un chien non obéissant et fuyant, en dressage, il faut lui faire croire qu'on est sur un truc intéressant sans lui prêter attention.
    Le chien déboule en se demandant ce qui se passe.
    Les merdias agissent ainsi avec les peuples. Les journalistes créent donc des événements pour dresser les gens sur un sujet qu'ils choisissent.

  • Le lobby rose est très puissant. Il organise le boycott des pâtes Barilla, ce qui peut être ressenti financièrement par la marque et entraîner du chômage.

    Les pubs homos me semblent contre-productives pour la grande masse des consommateurs.

  • Mais c'est presque celles que je fais! On les appelle Pasta primavera"
    Avec Barilla de preference!

  • Nelly, ce doit être agréable d'être invité chez vous!

  • Gaelle,
    on ne peut s'empecher de penser a Fernandel
    "Ce ne sont que des pates Monseigneur.."
    Oui, mais des Barilla!

  • Gaelle, je me suis trompee, c'etait un comique du nom d'Andre Aubert:
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Aubert
    Il avait copie a merveille Fernandel, dans son role de don Patillo!

  • Nelly, Fernandel serait épouvanté s'il revenait en ce monde !

    Il était né au boulevard Chave, à Marseille. C'était un boulevard tranquille, avec de grands et beaux platanes. Il y avait un cinéma où m'emmenait ma grand'mère, Mamy.
    D'évoquer toute cette douceur de vivre, si simple, me met les larmes aux yeux.
    Dans ce quartier, on peut maintenant se faire agresser pour un rien.
    Comme je comprends Jean Roucas!

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