Grâce à une intervention rapide et parfaitement coordonnée, la marine militaire italienne a sauvé 176 migrants syriens en mer. Seize passeurs, mêlés aux migrants, ont également été interpelés. L'opération a été vivement saluée par le ministre de la Défense et le président du Conseil, Enrico Letta.
Avec notre correspondante à Rome, Anne Le Nir
Selon le ministre italien de la Défense, Mario Mauro, sans l’intervention très rapide de la Marine militaire, le bateau de pêche à bord duquel étaient massés 176 Syriens, dont 11 femmes et 19 enfants, aurait fait naufrage. « L’embarcation était instable et la mer était très agitée », a-t-il précisé. Avant de partir dimanche soir pour Malte, il a, via Twitter, félicité les marins italiens « pour avoir sauvé des centaines de vies ces derniers jours ».
Un submersible et deux navires impliqués
L’opération de sauvetage s’est déroulée à 500 kilomètres du port de Capo Passero, situé dans la province de Syracuse, en Sicile. Elle a été effectuée à l’aide d’un petit submersible et de deux navires. Tous les migrants ont été transbordés sur le bâtiment le « San Marco », où ils ont été examinés par des médecins et où une équipe de la police a pris des photos signalétiques.
La marine militaire a indiqué que seize passeurs étaient mêlés aux migrants syriens, sans fournir d’autres détails.
«Mare Nostrum»
Depuis le début de la mission « Mare Nostrum », le 15 octobre - opération destinée à sauver le plus grand nombre de vie en mer - près de 4000 personnes ont été secourues. Depuis le 1er janvier, on obtient le chiffre de 30 000 personnes secourues.
→ A (RE)LIRE : Rome lance l’opération « Mare Nostrum » pour mieux contrôler l’immigration clandestine
Cette opération, consécutive à deux naufrages les 3 et 11 octobre au cours desquels au moins 372 personnes ont péri, s’avère extrêmement utile.
Rome a donc décidé de renforcer la surveillance de la Méditerranée, en mettant à disposition un navire amphibie, deux patrouilleurs, deux frégates, des hélicoptères ainsi qu'un drone.
Depuis ces derniers mois, les débarquements sont presque quotidiens à Lampedusa où ailleurs, sur les côtes siciliennes et calabraises.
Selon les statistiques fournies par le ministère de l’Intérieur italien, les candidats à l'immigration en Italie via la Méditerranée sont avant tout d’origine syrienne, puis suivent les Erythréens, les Somaliens, et les Egyptiens, Maliens et Afghans.
RFI- 10/11/13
Commentaires
L'opération n'a pas pour but le contrôle de l'immigration clandestine mais l'aide à l'invasion du territoire européen.
Comme les assassins ne peuvent augmenter la quantité de l'immigration légale de peur de susciter la colère des autochtones, ils font passer cette augmentation sous le couvert du secours dû aux naufragés en mer.
Le but est clairement l'extermination de la race indo-européenne et non le désir d'avoir de la main-d'oeuvre bon marché comme le pensent certains pour se rassurer.
effectivement , les moyens mis en œuvre sont pour éviter les naufrages ,et que les candidats à l,exil puissent arriver à bon port, et non pour les refouler hors des frontières . .!!
après cela , les bonnes âmes viendront nous expliquer , que ce n,est pas une partition du plan du grand remplacement , mais de l,humanitaire ,avec le secours de la bourse du souchien Italien . .!!
on n,est loin des expulsions de l,Arabie Saoudite , qui eux n,ont guére d,état d,âme , article cité sur le site de E.R , ce qui d,ailleurs ne provoque pas le tollé et autres cris d,orfraie chez nos professionnels pleurnichards des drh . . .!!!
salutations.
Ces fumiers du système recrutent des électeurs !
Il ne s'agit pas de les laisser se noyer, mais de les reconduire d'où ils viennent!
Bien sûr que ce sont de futurs électeurs pour les politiciens pourris!
En conclusion, c'est la marine italienne qu'il faut couler, les bateaux de la trahison.
@ turigol: un jour, ce sont les "migrants" qui vont arraisonner les bateaux italiens et prendre la barre! Trop de bêtise tue à la longue!
ON leur trouvera mille excuses!
Et on a vu, je crois, le savoir-faire en piraterie des Somaliens...
Et tout ceci, avec la bénédiction de "François" !
Une forteresse assiégée tire au canon, à obus réels et à l'horizontale sur les assiégeants. Tant qu'on ne l'aura pas compris, l'invasion se poursuivra.
Quelle est la raison invoquée pour la non reconduite sur leur rivage ?
Les Italiens vont les chercher alors même qu'ils ont à peine quitté les côtes de Lybie ! comme ça, sur simple appel téléphonique !
Mais bon sang, pourquoi les peuples continuent-ils à voter pour leurs bourreaux !
@ anonyme: dans leur pays, ils sont condamnés à mort, les y ramener, c'est leur refuser l'asile "politique", les envoyer à la mort...