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Henri ROUSSEAU dit le Douanier (1844-1910)

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La Bohémienne endormie - 1897

Commentaires

  • Merci Gaelle pour ce clin d oeil (peintre naif), cette toile n est toutefois pas ma favorite.
    Nous avons vu chez H. R des profusions d arbres, de verdure et de couleurs qui me parlent davantage.

  • Rien à déclarer au douanier Rousseau ?
    Si, j' aime bien ses tableaux !

  • @ marcel: moi aussi! J'en ai deux autres en réserve que j'aime beaucoup. Pas si naïf que ça, le Douanier! Un grand "fantasmatique" de la peinture! Quel sens du mystère, du merveilleux, de l'onirisme!
    On trouve ses œuvres dans les plus grands musée du monde.

  • @ Décée: j'aime depuis l'adolescence cette "Bohémienne endormie", qui me fait toujours rêver... . Mais je connais les "jungles" de H.R., que j'aime beaucoup également!

  • Je partage assez l'avis de Décée sur l'oeuvre du Douanier Rousseau, mais ce que dit Marcel n'est pas sans intérêt non plus :-)), et me suis toujours demandé pourquoi on appelait cette peinture "naïve". Elle est tout sauf "naïve" ! C'est de la peinture spontanée, sans masques, sachant exprimer cet onirisme confiné en chacun (voir sa toile "Le rêve" sur Wiki). Ceci, plus le talent purement technique - évident chez lui, dans la netteté du trait et la richesse des couleurs - en font un peintre à part, qui ne méritait pas l'ostracisme des chapelles et des écoles de son époque. Une toile doit faire vibrer, rêver ou imaginer, et c'est bien le cas de l'oeuvre d'Henri Rousseau.

  • En effet Dirk, "Le rêve". Le rêve est souvent associé aux "naïfs", de même que le symbolisme. Cela m'a permis de ressortir un très beau livre d'art du fond de ma bibliothèque "Le rêve et les naïfs" de H. Renard. Je ne résiste pas à en citer ici la préface par Giovanni Papini le "Poe" italien qui résume ces deux aspects :

    " J'existe parce qu'il y a un homme qui me rêve ; un homme qui dort et me voit agir et vivre et me mouvoir - et qui rêve en ce moment que je vous parle comme je fais. Quand il commencera à me rêver, mon existence commencera, quand il se réveillera, je cesserai d'être. Je suis ... une création de son esprit, un hôte de ses longues fantaisies nocturnes. Le songe de quelqu'un qui a tant de consistance et de durée que je suis devenu visible même à ceux qui sont éveillés"

  • Très beau texte. Merci, Décée.

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