AFPS, samedi 28 décembre 2013
Les bombardements israéliens de ces derniers jours à Gaza qui ont provoqué de nombreuses victimes dont la mort d’une fillette de trois ans et d’importants dégâts appellent une claire condamnation du gouvernement français.
Les habituelles justifications des autorités israéliennes qui présentent leurs actions comme des représailles sont totalement irrecevables. D’abord parce qu’elles frappent des civils qui sont maintenus sous un blocus inhumain depuis plus de six ans et, qu’à ce titre, elles constituent des crimes de guerre. Enfin parce qu’aucune autorité en place à Gaza ne sera jamais en mesure d’empêcher des actions violentes contre ce siège qui prend en otage une population de plus de 1,6 million d’habitants et la coupant délibérément de ses liens avec la Cisjordanie.
Cinq ans après l’ignoble opération militaire israélienne (dite "plomb durci") contre la population de Gaza, plus d’un an après les nouveaux bombardements massifs de novembre 2012 suivis d’un cessez-le-feu, rien n’est réglé et Israël continue à bombarder en toute impunité la population et les infrastructures de Gaza, et à lui imposer un blocus qui ruine son économie et plonge la population dans la misère.
La seule solution est d’en finir avec le blocus et c’est ce que la France, comme la communauté internationale, doivent rappeler à Israël en prenant les sanctions qui s’imposent.
Le Bureau national
Commentaires
La quenelle est arrivee au bon moment pour couvrir les miseres subies par les Palestiniens!
Il est temps de remettre a leur place ces coupables et de laisser tomber cette quenelle ridicule!
L’Israël a le droit de bombarder qui bon lui semble, et en particulier le peuple palestinien prisonnier dans ce camp de Gaza !
Gaza, c'est 1,6 million de Palestiniens bouclés dans un camp dont toutes les issues sont gardées par l'armée israélienne! Avec des clôtures en barbelés! Si on s'approche trop près, ils tirent! Ils tirent aussi de la mer vers la côte, les plages!
Bien pire que l'apartheid!
Comme les grands médias n'en parlent jamais, le public ne sait absolument pas comment vivent ces malheureuses familles, dans quelles conditions de misère et d'humiliation.
Les Palestiniens de Gaza ne peuvent pas communiquer librement avec le reste du monde. Tout passe par Israël.
Ce crime hideux devra se payer tres cher un jour ...