Roberto Cristofoli | Publié le 20.01.2014, 22h42 | Mise à jour : 23h29
Ce haut fonctionnaire portant une imposante moustache poivre et sel était décrit comme «atypique».
| LP/Nicolas Jacquard
L'ex-préfet de la région Centre et du Loiret, Bernard Fragneau, 63 ans, a mis fin à ses jours, ce soir vers 19 heures, à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Le haut fonctionnaire a commis l'irréparable dans des locaux professionnels de son épouse.
En 2010, ce haut fonctionnaire portant une imposante moustache poivre et sel et décrit comme «atypique» avait demandé à être relevé de ses fonctions après avoir été désavoué par le président de la République, Nicolas Sarkozy, pour avoir fait expulser Najlae Lhimer, 19 ans, une étudiante marocaine en situation irrégulière. Elle avait été arrêtée et expulsée après être venue porter plainte dans une gendarmerie de Château-Renard (Loiret) contre son frère qui la battait, avant d'obtenir son rapatriement quelques semaines plus tard et de faire un retour très médiatisé en France devant les micros et les caméras.
Cet énarque de la promotion Michel de l'Hospital était depuis préfet hors cadre après avoir été en poste dans le Jura, l'Eure, l'Essonne, le Pas-de-Calais et dans la région Poitou-Charentes.
En 2010, ce haut fonctionnaire portant une imposante moustache poivre et sel et décrit comme «atypique» avait demandé à être relevé de ses fonctions après avoir été désavoué par le président de la République, Nicolas Sarkozy, pour avoir fait expulser Najlae Lhimer, 19 ans, une étudiante marocaine en situation irrégulière. Elle avait été arrêtée et expulsée après être venue porter plainte dans une gendarmerie de Château-Renard (Loiret) contre son frère qui la battait, avant d'obtenir son rapatriement quelques semaines plus tard et de faire un retour très médiatisé en France devant les micros et les caméras.
Cet énarque de la promotion Michel de l'Hospital était depuis préfet hors cadre après avoir été en poste dans le Jura, l'Eure, l'Essonne, le Pas-de-Calais et dans la région Poitou-Charentes.
Le Parisien
Commentaires
Voilà un haut fonctionnaire intègre qui s'est mis à dos toute la chienlit politicienne et les associations collabos pour avoir fait son travail ! Ces pleutres n'ont pas eu raison de son honneur.
Mais leur petitesse, sans parler de celle du nabot, ne justifiait quand même pas son suicide. Ce rebelle "atypique" mérite tout notre respect.
Dirk, je suis persuadée qu'il a été persécutée. Il n'y avait pas que sa moustache et sa coupe de cheveux qui devaient être "atypiques".
Comment pousser un homme intégre au suicide? En le désespérant, en l'humiliant, en créant sa "mort civile".
Acte éminemment triste et regrettable : la misérable nanocrasse Narkozy ne mérite pas un tel honneur !
Une nouvelle victime de la délirante et criminelle politique migratoire ...
Le comportement de Sarkozy dans l'affaire de cette étudiante marocaine a montré, s'il en était besoin, la vraie nature de l'individu, de l'UMPS en général.
Oui, il a voulu faire son travail en conscience, mais il n’a pas eu le courage d’aller jusqu’au bout : résultat c’est la clase politique qui est heureuse et se frotte les mains de son suicide!
on n,était pas à la place , ni dans la téte de cet homme .
mais pour ma part , je ne me saurais pas suicider pour ce genre d,affaire . .!!
salutations.