Question n° 03-00349 : du 24 janvier 2014
Mme Marion Maréchal-Le Pen interroge Mme la ministre de la culture et de la communication sur les suites qu’elle compte donner au rapport du Comité consultatif pour la promotion des langues régionales et de la pluralité linguistique interne, qui lui a été remis le 15 juillet 2013. Ce document semble préfigurer une montée en puissance des obligations de l’Etat envers les langues minoritaires, c’est à dire des langues étrangères pratiquées par des populations installées sur notre territoire. A l’occasion du débat sur la ratification de la Charte du conseil de l’Europe sur les langues régionales ou minoritaires, la majorité de gauche à l’Assemblée nationale, par la voix du président du groupe GDR, a notamment appelé de ses vœux son extension aux langues issues de l’immigration, comme l’arabe et le chinois, rappelant notamment « l’urgence » de développer l’apprentissage de l’arabe au sein de l’enseignement. Il y a là une menace de communautarisation de la France et une remise en cause évidente du principe d’assimilation républicaine. Il est demandé à la ministre quelle politique elle entend suivre et quelle place elle entend faire aux langues minoritaires non territoriales, en particulier les deux principales selon le rapport suscité que sont les dialectes arabes et le romani, et dans quelle mesure elle entend accepter l’usage de ces langues dans la sphère publique et dans l’enseignement.
Commentaires
Il importe de distinguer en effet les langues non territoriales qui n'ont rien à faire chez nous, des langues territoriales persécutées jusqu'ici par les Jacobins de toutes les époques et qui font partie du patrimoine français. Celles-ci sont parfois plus anciennes que le français. Le monde ne s'arrêtera pas de tourner si celles-ci sont protégées et cultivées, étant entendu que seul le français est la langue officielle (à renforcer d'ailleurs à l'école et dans les médias !)
J'espère que Marine ne renouvellera pas certains propos maladroits tenus dans le passé assimilant le breton et l'arabe afin de justifier l'interdiction de la signalisation bilingue en Bretagne (et ailleurs).
le Français est notre langue à tous. les dialectes ou langues régionales peuvent étre enseignées à ceux et celles qui le désirent dans un cadre de patrimoine local.
d,autres langues comme l,Anglais , le Russe et le Chinois sont bien plus importantes et nécessaires que l,Arabe ou le romani.
salutations.
Il y a peu, les gouvernements et surtout la gauche et l’extrême gauche, luttaient par tous les moyens pour faire disparaître les langues régionales de France. Il y a moins de 40 ans on envoyait encore des parents en prison pour avoir donné à leurs enfants des prénoms bretons !
Tout ça au nom de la République une et indivisible, comme l’on disait à l’époque. C’était révoltant car en réalité cela ne portait nullement atteinte à la nation, mais cassait toute vélléité d’affirmer son identité.
Depuis que le pays accueille des immigrés en masse et que la population indigène est en voie de disparition, d’un seul coup, ces mêmes gouvernements nous chantent une toute autre chanson : il faut que tous les Français apprennent les dialectes arabes et africains, car c’est de ces dialectes qu’il s’agit ! Il faudrait qu’on nous explique pourquoi la vérité d’hier devient un mensonge, pourquoi l’identité française doit aujourd’hui disparaître dans un magma babélisé.
Tout cela montre que les vrais motifs des gouvernements sont toujours cachés, car ils en ont honte : ils savent que le peuple les pendrait s’ils avouaient la vérité. Ils sont aux mains des lobbies mondialistes qui leur impose de détruire les peuples et les nations européennes en les faisant disparaître peu à peu et en les noyant dans la mélasse de l’immigration !
abad, votre analyse est remarquable. C'est cela même.
abad, votre est logique est terriblement lucide , quand vous dîtes : magma babélisé.!!
mais nombre de citoyens ne veulent pas le voir , ni l,entendre . !!
salutations.