Laurent Fabius, ministre socialiste des Affaires étrangères, avoue à l’Assemblée nationale le 25 février 2014 qu’il a fourni les éléments avec l’Allemagne, la Pologne et l’UE pour un véritable coup d’État contre le président Ianoukovytch et sa majorité parlementaire.
A noter que Fabius n’ose même plus prononcer le nom du président ukrainien berné qui est pourtant celui qui a signé l’accord du 21 février soutenu par l’UE avec une opposition qui savait qu’elle ne le respecterait pas.
NPI