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Déjà vingt ans!... Mais en y réfléchissant bien, cela nous donne l'occasion, chère Gaëlle, de réécouter la fameuse chanson de Trénet intitulée "Léon, où c'est-y que t-es donc"?
http://www.kuwo.cn/yinyue/1677746/
Alors hauts les cœurs!
Quel charisme avait le grand Léon ! Et quelle vie aventureuse…toujours en première ligne ! Dès sa jeunesse déjà, sa bouille ronde et ses pantalons de golf inspirèrent son grand ami d'enfance Hergé !
J'en profite de cette année du centenaire du déclenchement de la 1ère GM pour vous inviter à lire sa trilogie consacrée à cet évènement, et notamment le 1er tome : Le traquenard de Sarajevo. Tout y est dit sur les commanditaires de cette boucherie !
Degrelle était également un écrivain et un pamphlétaire exceptionnel.
Degrelle haïssait le communisme autrement plus tueur que le nazisme, la seule solution à l'époque était d'aider l'Allemagne à nous protéger de cette peste, la plus meurtrière de l'histoire humaine. Mais , au fait, qui sont les créateurs du communisme ???
Leclerc n'a rien compris en fusillant de jeunes Français sous uniformes allemands.
Il est tout à fait normal qu'on se souvienne d'un grand patriote.
Bien sûr certains ont choisi le camp des amères loques et de leurs tapis de bombes au phosphore; il faut voir aujourd'hui où cela nous a mené !
Avec le recul dont nous disposons il est aisé de reconnaître que le combat de Léon Degrelle et de tous ceux qui le suivirent était voué à l'échec . Il y a pire , Degrelle et les siens furent incapables se trompèrent d'ennemi .
Tous furent des hommes courageux , désireux de bien faire , sachant l'Europe menacée . Ils ne comprenaient rien à la stratégie militaire et les considérations géopolitiques leur étaient étrangères .
Ils haïssaient le dictateur rouge , ce qui n'était point un programme politique .
Les officiers de l'OKW allemand étaient réticents à l'idée d'attaquer l'Empire russe . Le pari était risqué . Ils avaient aussi compris que c'était se tromper d'ennemi .
La City et Wall Street , plus encore que les Anglo-Saxons , voilà les ennemis irréconciliables de l'Europe .
La Russie de Staline , c'était tout au plus un allié encombrant .
Le diagnostic porté par un Degrelle vieillissant en Espagne sur l'Occident est d'une étonnante lucidité .
Le Commandeur de la 28° Division SS " Wallonie" fut bien l'un des plus grands héros de la guerre 1939-1945. Il mérite notre respect .
un homme de conviction, un combattant , une époque . .!!
cela le journaleux ne peut le comprendre , cela va de soi. .!!
salutations.
Commentaires
Déjà vingt ans!... Mais en y réfléchissant bien, cela nous donne l'occasion, chère Gaëlle, de réécouter la fameuse chanson de Trénet intitulée "Léon, où c'est-y que t-es donc"?
http://www.kuwo.cn/yinyue/1677746/
Alors hauts les cœurs!
Quel charisme avait le grand Léon ! Et quelle vie aventureuse…toujours en première ligne ! Dès sa jeunesse déjà, sa bouille ronde et ses pantalons de golf inspirèrent son grand ami d'enfance Hergé !
J'en profite de cette année du centenaire du déclenchement de la 1ère GM pour vous inviter à lire sa trilogie consacrée à cet évènement, et notamment le 1er tome : Le traquenard de Sarajevo. Tout y est dit sur les commanditaires de cette boucherie !
Degrelle était également un écrivain et un pamphlétaire exceptionnel.
Degrelle haïssait le communisme autrement plus tueur que le nazisme, la seule solution à l'époque était d'aider l'Allemagne à nous protéger de cette peste, la plus meurtrière de l'histoire humaine. Mais , au fait, qui sont les créateurs du communisme ???
Leclerc n'a rien compris en fusillant de jeunes Français sous uniformes allemands.
Il est tout à fait normal qu'on se souvienne d'un grand patriote.
Bien sûr certains ont choisi le camp des amères loques et de leurs tapis de bombes au phosphore; il faut voir aujourd'hui où cela nous a mené !
Avec le recul dont nous disposons il est aisé de reconnaître que le combat de Léon Degrelle et de tous ceux qui le suivirent était voué à l'échec . Il y a pire , Degrelle et les siens furent incapables se trompèrent d'ennemi .
Tous furent des hommes courageux , désireux de bien faire , sachant l'Europe menacée . Ils ne comprenaient rien à la stratégie militaire et les considérations géopolitiques leur étaient étrangères .
Ils haïssaient le dictateur rouge , ce qui n'était point un programme politique .
Les officiers de l'OKW allemand étaient réticents à l'idée d'attaquer l'Empire russe . Le pari était risqué . Ils avaient aussi compris que c'était se tromper d'ennemi .
La City et Wall Street , plus encore que les Anglo-Saxons , voilà les ennemis irréconciliables de l'Europe .
La Russie de Staline , c'était tout au plus un allié encombrant .
Le diagnostic porté par un Degrelle vieillissant en Espagne sur l'Occident est d'une étonnante lucidité .
Le Commandeur de la 28° Division SS " Wallonie" fut bien l'un des plus grands héros de la guerre 1939-1945. Il mérite notre respect .
un homme de conviction, un combattant , une époque . .!!
cela le journaleux ne peut le comprendre , cela va de soi. .!!
salutations.