Mis en examen pour viol en réunion, barbarie et racisme anti-français
L'affaire s’est déroulée le 30 mars, peu après minuit, dans un parc d’Évry, durant la nuit qui précédait le second tour des élections municipales :
"Ce soir-là, une jeune fille de 18 ans descend du RER en gare d’Évry. À sa sortie, elle donne un appel de son téléphone portable. Quatre individus se jettent sur elle et l’emmènent dans un parc voisin. Ils la dépouillent de tout ce qu’elle possède, puis la déshabillent et la violent à tour de rôle. Un viol indescriptible de cruauté barbare. Les quatre vont la martyriser pendant plus de deux heures avant de l’abandonner, blessée jusqu’au sang. Un automobiliste la prend en charge, appelle les secours. Elle aura l’énergie de témoigner en portant plainte. Les policiers l’accompagnent aux urgences. On lui donnera trois mois d’arrêt de travail. La voilà choquée pour la vie.
Grâce à ses descriptions détaillées et aux images de vidéosurveillance, les policiers d’Évry arrêtent en moins de vingt-quatre heures les quatre suspects et les confondent avec leurs ADN. Ils procèdent aux interrogatoires dès le lundi 31 après-midi. Les quatre voyous sont mineurs : deux de 13 ans, un de 15, le quatrième de 17. Trois frères turcs, un Marocain. Signes particuliers : l’aîné, 17 ans, a été rendu à la liberté six mois plus tôt après avoir purgé les deux tiers d’une peine de deux ans d’emprisonnement à la suite d’un viol commis sur le fils d’un sous-officier de gendarmerie. Libéré sans contrôle. Le voilà récidiviste. Deux autres ont déjà été interpellés pour vol avec violences. Quatre agresseurs, trois récidivistes — mineurs !
Lors de leurs interrogatoires, et sur ce que l’on a pu savoir de l’enquête, les mineurs n’auraient pas formulé le moindre remords. Au contraire, ils ont exprimé leur haine : oui, ils n’auraient pas touché la jeune fille si elle avait été turque ; oui, ils l’ont agressée parce qu’elle était française et que « les Français sont tous des fils de pute ». Le juge qui les a fait incarcérer les a mis en examen pour viol en réunion et barbarie, mais aussi, plus rare, pour racisme."
Le Salon Beige
Commentaires
Mais où est le problème ? Ce sont des chances pour la France qui expriment tout leur talent ! La victime devrait leur dire « merci ». Je me demande si Taubira ne va pas la condamner pour cela !
En tout cas Valls qui connaît bien Evry (enfin, je le crois), va leur adresser ses plus vives félicitations !
Dans quelle monde vivons nous
il faut qu'il soit punie privation de liberté pour les quatres mineurs .honteux !!!!!!!!!
Peut-être que nos compatriotes finiront par admettre qu'il leur faut faire justice eux-mêmes !
Aucun policier n'est autorisé par notre République à faire ce qui justifie son traitement .
Les malfaiteurs sont d'autant plus assurés de l'impunité que nos magistrats s'apitoient sur leur sort .
La solution : que la peur change de camp . La mort administrée de façon expéditive et la responsabilité des familles des criminels ( s'ils sont mal éduqués , devinez-en la raison ...)
C' est curieux , mais les media n' en ont pas parlé à ma connaissance .
A Patriote : les médiats ont l’ordre de ne pas parler de viols quand leurs auteurs sont peut-être des CPF ! Des crimes comme celui-ci il s’en commet presque chaque jour en France sans qu’on en parle.
Comment interpréter le silence assourdissant de toutes ces associations bien-pensantes toujours promptes à s'indigner dès que l'on peut suspecter que le racisme motive une agression. Là c'est très embarrassant car ça concerne des garçons "issus de la diversité" , des CPF chers à nos élites qui voient ça de très loin. heureusement les médias respectent la consigne et appliquent la loi du silence!
christian,
le silence de ces assocs , on dit suffisamment long sur leurs motivations à géométrie variable . . .!!
salutations.