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  • On ne lâche rien!

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  • Combien de voitures brûlées en France ?

     

    Le député Jacques Bompard appelle l'attention du ministre de l'intérieur sur le nombre de voitures brûlées en 2013 :

    "Généralement bon indicateur des violences urbaines, les études sur le nombre de voitures brûlées sont parfois aléatoires : l'observatoire national de la délinquance et des réponses pénales affirme qu'il y a eu, en 2013, 34 441 véhicules incendiés dans notre pays alors que les pompiers en déclarent 58 000. Selon l'ONDRP, il y a eu une baisse de 25 % de ces délits. Certes, mais en comparaison avec le Royaume-uni, c'est bien faible. Outre-Manche en effet on constate, entre 2003 et 2013, une baisse importante d'environ 73 %. La différence de méthodes et de moyens expliquent cette différence. Comme le rappelle justement Alain Bauer «quand un délinquant est arrêté pour de tels faits en Grande-Bretagne, les Britanniques ne lui garantissent pas, comme trop souvent en France, l'excuse absolutoire. Il va en prison où les places sont suffisantes ». Il lui demande donc si, avec sa collègue Mme la ministre de la justice, il compte réétudier la politique du Gouvernement et s'inspirer en la matière de la politique britannique."

    Michel Janva

    Le Salon Beige  23 04 14

  • L'Eglise en hausse en Corée du sud

    Les dernières données statistiques, pour l’année 2013, diffusées par la Conférence épiscopale de la Corée du Sud, montrent que, depuis 2003, le catholicisme y progresse de manière continue.

    • 5 442 996 baptisés (+ 1,5 % par rapport à 2012) soit 10,4 % de la population totale.
    • 118 830 baptêmes en 2013 (dont 25 589 petits enfants), un nombre toutefois en diminution de 10 % par rapport à 2012.
    • 4 901 prêtres (dont 4 695 sont des Coréens)
    • 36 évêques (dont deux cardinaux)
    • 117 nouveaux prêtres ont été ordonnés en 2013 (+ 2,6 % par rapport à 2012).
    • 1 564 religieux et 10 173 religieuses. 

    Le Salon Beige - 23 04 14

  • Avortement : la schizophrénie d'élus de l'UMP

     

    Dans une tribune publiée sur Le Figaro, des sénateurs UMP s'inquiètent. Selon eux, la suppression de la notion de détresse menacerait la loi Veil. Extrait de ce délire :

    "Que ceux qui veulent rendre possible l'interruption volontaire de grossesse sans aucune condition de fond aillent jusqu'au bout de leur logique en demandant aussi la suppression de l'exigence d'une «nécessité» fondant la décision de la femme! Alors, ils devront assumer d'avoir entièrement vidé de son contenu le principe du respect de tout être humain dès le commencement de sa vie, et c'est tout le dispositif de la loi Veil qui s'écroulera, provoquant dans la société française une déchirure sans précédent depuis quarante ans. Une telle déchirure doit absolument être évitée."

    Depuis 40 ans, ce sont plusieurs millions d'enfants qui ont été éliminés, en application de la loi Veil et au mépris du respect de l'être humain dès le commencement de sa vie. Et ils osent aujourd'hui défendre ce principe ! 

    "Tout droit fondamental peut en effet connaître des limites légales. Mais la loi Veil, avec une franchise assumée, va beaucoup plus loin. Elle ne pose pas seulement une limite au droit au respect de l'être humain dès le commencement de sa vie, elle permet explicitement et selon ses termes mêmes d'y porter une «atteinte» individuelle en cas de «nécessité», et cette atteinte individuelle est par nature irréversible puisqu'il est mis fin à la grossesse."

    220 000 avortements ont lieu en France chaque année. Légalement et gratuitement. Et ces sénateurs UMP osent écrire que "dans sa façon d'aborder la dimension philosophique du problème de l'avortement, la loi Veil s'était cependant voulue humble et pragmatique."

    Michel Janva

    Le Salon Beige

  • VIDEOS - Hollande hué à Carmaux

    http://www.leparisien.fr/politique/hollande-essuie-des-sifflets-a-son-arrivee-a-carmaux-23-04-2014-3789111.php

  • USA: le tueur antisémite soutenu par son maire

    Revue de presse
    Publié le 18 Avril 2014

     


     
     

    Article publié sur I24 News le 17 avril 2014

    Le maire de Marionville (Missouri), ville dont est originaire le tueur antisémite membre du Ku Klux Klan ayant abattu trois personnes en fin de semaine dernière dans deux institutions juives de Kansas City, a déclaré être en accord avec les idées de Frazier Glenn Cross sur les Juifs. Dans une interview à la radio locale KSPR, Dan Clevenger affirme que les Juifs sont responsables de la destruction des États-Unis. "Je suis plutôt d'accord avec lui pour certaines choses, mais je n'aime pas trop m'exprimer là-dessus", dit Clevenger qui considère le tueur comme son ami.

    "Il y a des choses qui se passent dans ce pays et qui nous détruisent. Nous avons une économie malade et c'est à cause de ces sociétés qui sont dirigées par des Juifs, on peut d'ailleurs voir les noms", dit le maire au micro de KSPR. "Le fait que la Réserve fédérale émette de l'argent factice et l'injecte dans l'économie je pense que c'est complètement erroné", ajoute-t-il. "Les personnes qui gèrent la Réserve fédérale sont juives". En 2004, le maire de Marionville accusait les "Juifs qui dirigent l'industrie pharmaceutique de détruire les capacités de travail des États-Unis"… Lire la suite.

    CRIF
  • Libération des otages : l’indécente mise en scène !

     

    Kozzi
    Le 23 avril 2014
    Qui va croire qu’aucune rançon n’a été versée ?
             

    Des journalistes français ont été enlevés par des islamistes dans la zone contrôlée par les rebelles en Syrie. Après de longs mois de captivité très éprouvante, ils ont été libérés et ont retrouvé leurs familles. Chaque Français doit en éprouver une grande joie et être touché par l’émotion des retrouvailles. Mais la mise en scène présidentielle de leur accueil sur le sol national m’a profondément choqué. À travers les images destinées à émouvoir, à attirer la sympathie pour les otages – ce qui se comprend – mais aussi pour les responsables associés à cette libération, on pouvait mesurer l’abaissement inouï de notre pays.

    Il y a d’abord l’ambiance générale. On étale la sentimentalité comme une vertu. On pleure, on s’épanche, on embrasse. Un grand pays devrait faire preuve de plus de dignité, d’une plus grande retenue dans l’émotion, d’une plus grande fermeté à l’encontre des preneurs d’otages. Exhiber ainsi sa faiblesse, c’est accroître la tentation pour tous les ravisseurs potentiels du monde, de commencer ou de recommencer tant l’opinion publique est sensible à ces enlèvements, notamment lorsqu’il s’agit de journalistes, dont les médias, par une solidarité compréhensible, vont sans cesse rappeler la situation. Il serait plus dissuasif de dire que celui qui s’en prend à un Français a peu de chances de demeurer impuni. La France a mis un certain temps pour récupérer Carlos, mais elle y est parvenue. Depuis que l’État n’est plus un père protecteur, mais une « Big Mother », les discours virils et les actions répressives sont plutôt mal venus. L’État n’est plus commandeur mais quémandeur.

    Quémandeur, il l’est à plusieurs niveaux. Améliorer l’image, émouvoir, attirer la sympathie : telle est la manière peu glorieuse de faire semblant de gouverner aujourd’hui. Dans les libérations d’otages, une deuxième forme de mendicité intervient. « Un grand merci, mon bon monsieur », doit-on à chaque fois répéter au pays et à ses dirigeants qui ont permis ce que la France ne pouvait directement obtenir. Merci le Cameroun, merci la Turquie, merci le Qatar : autant de dépendances avouées, acceptables lorsqu’il s’agit d’un pays de la famille africaine francophone, mais qui ne le sont guère lorsque les États remerciés sont ceux-là mêmes qui entretiennent la guerre en Syrie.

    Il est vrai que la politique internationale, à quelques exceptions africaines près, met constamment la France en état d’infériorité. Soit en robe de bure elle va demander une rallonge à la technocratie bruxelloise, soit elle se félicite qu’un pays étranger sauve son industrie par ses commandes contre transfert de technologie, ou préserve une entreprise par ses participations ou son rachat.

    Dans le cas syrien, la France a tellement suivi les États-Unis et leurs alliés du Golfe (ces modèles des droits de l’homme) qu’elle a failli les précéder. Car, enfin, ce bon monsieur Hollande, qui va embrasser les otages à leur arrivée devant les caméras, est bien l’un des responsables politiques qui ont encouragé et certainement soutenu la rébellion contre le gouvernement Assad. Actuellement, l’armée loyaliste semble reconquérir le territoire, notamment le long de la frontière libanaise. Contre qui se bat-elle ? Pas contre des héros de la démocratie, mais contre des djihadistes pour la plupart étrangers à la Syrie et qui, comme par hasard, sont surtout puissants le long des frontières par lesquelles ils reçoivent armes et combattants et au-delà desquelles ils bénéficient du soutien réputé « humanitaire » auquel notre pays participe.

    Qui va croire qu’aucune rançon n’a été versée ? Par qui et à qui ?
    Il est évidemment honteux que notre pays soit objectivement complice de cette situation, et plus encore que ses dirigeants cherchent à tirer un quelconque bénéfice des conséquences d’une tragédie qu’ils ont contribué à déclencher.

    Christian Vanneste

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Marion Maréchal-Le Pen enceinte, Jean-Marie Le Pen bientôt arrière-grand-père

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    C’est Minute de mercredi 23 avril qui le révèle. L’hebdomadaire indique que le député du Vaucluse est enceinte de 4 mois, ce qui explique son absence récente des médias, à cause des nausées des trois premiers mois. Dressant un parallèle à peine moqueur avec Jennifer, Minute note que « cette modification de l’aspect physique atteint désormais l’élue » et ne serait pas passée inaperçue la semaine dernière lors de son passage au Palais Bourbon. « Si nous révélons aujourd’hui cette sympathique maternité, c’est que Marion Maréchal-Le Pen ne va plus pouvoir se réfugier, dès cette semaine, derrière un no comment. Ce mardi, elle doit assister à la conférence de presse que donnent Marine Le Pen – qui était bien sûr dans la confidence – et Florian Philippot à la Maison des Centraliens pour le lancement de la campagne des européennes, en présence des têtes de listes. Deux jours plus tard, elle devrait être présente à une autre conférence de presse donnée, celle-ci, pour présenter la liste du FN conduite par le géopoliticien Aymeric Chauprade dans la circonscription Île-de-France. Deux apparitions publiques, donc, devant des parterres de journalistes auxquels elle ne pourra pas dissimuler ses rondeurs », justifie Antoine Vouillazère. Vous vous demandez qui est l’heureux papa ? « Rien de croustillant », écrit Minute, « le père n’est autre que son compagnon, un garçon qui ne fait pas de politique (…) et qui l’a séduite bien avant qu’elle ne soit élue députée, soit avant le printemps 2012″. Et notre confrère de conclure : « en septembre prochain, ‘si Dieu (lui) prête vie’, selon la formule qu’il affectionne, Jean-Marie Le Pen deviendra donc arrière-grand-père. »

    NOUVELLES DE FRANCE

  • Comment l'Europe se suicide - Lampedusa: 850 clandestins secourus samedi dans le Canal de Sicile, 321 nouveaux clandestins dans la nuit de dimanche à lundi

     via FDesouche

  • Nigel et Nicolas, mais vous faites quoi?

     

    europe des patries bis

    Le site du quotidien Le Monde est revenu hier sur le refus de Nigel Farage, chef du Parti (eurosceptique) pour l’indépendance du Royaume-Uni (UKIP), d’accepter la main que lui tendait Marine Le Pen pour former un groupe au Parlement européen. En guise de justification, et pour bien signifier que sa décision était irrévocable, M. Farage n’a pas hésité à manier la violence verbale  en affirmant que « l’antisémitisme est dans l’ADN du (Front National)»,  rapporte la journaliste Elvire Camus. Elle note aussi que «sa réponse négative lui a valu les  moqueries  de Marine Le Pen qui   se demande en effet pourquoi Nigel Farage a préféré s’allier au parti gaulliste de Nicolas Dupont-Aignan, Debout la République (DLR), qui fait des scores de 1% en France». Le 13 avril M. Farage était en effet présent, devant quelques centaines de fidèles de M Dupont-Aignan, à la réunion publique de lancement de campagne des européennes de DLR.

     Dans son compte-rendu de cette réunion, Libération relayait la justification habituelle du leader de l’UKIP : «Nous devons être justes: Marine Le Pen a fait beaucoup de progrès. Mais étant donné l’histoire du FN, ce n’est pas un parti avec lequel nous voulons nous allier. Et si vous regardez son programme économique, c’est tellement à gauche, c’est incroyable!». A contrario a-t-il dit à la tribune, « Je crois en Nicolas Dupont-Aignan, en Debout la République, un parti politique respectable, modéré, qui est sur la même ligne eurosceptique.»  

     Ni respectable, ni modéré pour M. Farage, le FN n’en est pourtant pas moins aux yeux de nos compatriotes le porte-parole naturel du camp national, patriotique et souverainiste. Et concrètement,  «le tribun de l’UKIP risque au final de ne s’allier… avec personne en France ». Car crédité de 1,5% des intentions de vote dans le  sondage IFOP paru la semaine dernière qui place les listes FN en tête avec une moyenne de 24% des suffrages, « Nicolas Dupont-Aignan a pour l’instant peu d’espoir d’avoir des élus au Parlement de Strasbourg (…). M. Dupont-Aignan espérait rallier Jean-Pierre Chevènement ou Philippe de Villiers à ses listes mais ceux-ci n’ont toujours pas dit oui, ce qui met à mal l’unité des patriotes de gauche et de droite qu’il appelait de ses vœux ».

     La notion de vote utile, devrait de surcroît  décider tout  électeur  souverainiste conséquent à ne pas stériliser sa voix en portant son  vote sur les listes de M. Dupont-Aignan – les listes DLR avaient obtenu 1,77% des voix en 2009- qui en toute probabilité n’enverront pas d’élus au parlement. Seuls les députés  FN  pourront donc mener la bataille  contre le parti bruxellois et notamment sur  les deux dossiers brûlants des prochains mois: la PAC et  l’accord de libre-échange transatlantique (le fameux «Grand marché transatlantique »), actuellement en négociation entre l’Union européenne et les Etats-Unis. Ceux-ci sont d‘ailleurs  les deux grands axes de la campagne européenne du Front National.

     Marine Le Pen a eu l’occasion de la rappeler  aujourd’hui à Paris lors de la  présentation aux médias  des  têtes de listes  européennes du FN,  en présence des intéressés et  de Bruno Gollnisch qui figure en troisième position dans le Sud-Est:  elle même dans la circonscription Nord,  le président d’honneur  Jean-Marie Le Pen (Sud-Est),  les vice-présidents  Louis Aliot (Sud-Ouest) et  Florian Philippot (Est), Aymeric Chauprade (Ile-de-France), Gilles Lebreton (Ouest),   Bernard Monot (Centre-massif Central). 

    Samedi, lors  de son déplacement  à Brive (Corrèze) pour y soutenir Bernard Monot,  la présidente du FN  a aussi répondu à tous ceux qui doutent de la possibilité et/ou de l’efficacité d’une coalition de partis nationaux et patriotiques au Parlement européen. Bruno Gollnisch en parle d’expérience, ce n’est certes jamais chose aisée et nécessite patience et diplomatie. La présidente du FN a fait part des discussions en cours avec les Autrichiens du FPÖ, les Italiens de la Ligue du Nord, les Néerlandais du Parti de la Liberté (PVV).

     Formations avec lesquelles  nous avons  il est vrai des divergences parfois  assez grandes mais avec qui« nous avons aussi  une cohérence sur les problèmes de l’Union européenne, ce qui n’est pas la cas pour les autres groupes où il n’y a même pas de cohérence de vote !».

     Des divergences il y en avait aussi entre les participants à  la manifestation organisée contre la venue de Marine et de Bernard Monot à Brive, contre le «   néo-populisme européen » (sic).   Les  sympathisants du  PS, dont le candidat élu à la dernière présidentielle  partage les mêmes vues européistes  qu’un Bayrou et qu’un Sarkozy,  défilaient  aux côtés  des contempteurs de l’Europe libérale  du PC et du Front de Gauche. Mais dans les faits,  la détestation profonde de l’alternative portée par  l’opposition  nationale, populaire et sociale, génère  des alliances qui ne sont aberrantes qu’en surface. Entre les altermondialistes d’extrême gauche et les  mondialistes socialo-libéraux, deux faces de  la même médaille antinationale,  existent une différence de degrés et non de nature.

     C’est pourquoi il est  à l’inverse particulièrement condamnable que des défenseurs  autoproclamés des  souverainetés nationales, de l’Europe des patries, par peur, soumission au politiquement correct ou calculs boutiquiers à courte vue, trouvent  toujours des bonnes (mauvaises)  raisons pour ne pas s’allier, même avec le FN. Si leurs convictions patriotiques sont sincères, quelles  illusions sur le Système et ses mensonges qu’ils disent combattre  bercent encore un Dupont-Aignan ou un Farage ?

     Laissons en cette circonstance le mot de la fin à  Shakespeare : « le monde est sans cesse séduit par la beauté de la forme. En justice, quelle cause est assez noire, assez criminelle pour qu’en se parant d’une voix agréable, elle ne puisse dissimuler l’apparence même du mal ? En religion, quelle erreur assez damnable, qu’un front sérieux ne puisse exalter et prouver par un texte qui en cachera la grossièreté sous une belle parure ? Il n’y a pas de vice si franc qui n’assume la marque extérieure de quelque vertu »

    Bruno  GOLLNISCH