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Je suis ton bébé. Touche pas à mon corps.

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Ce qui terrifie le plus les idolâtres de la mort, c'est la vérité. Ils la craignent comme la peste, parce qu'ils ne peuvent rien contre elle.

 

Donc, tu veux garder « le contrôle de ton corps ». Mais, chérie, wake up ! Personne ne t’en a jamais empêché. J’sais pas, moi…tu veux t’arracher un globe oculaire ? Go for it ! T’as envie d’implants mammaires ? Be my guest ! T’en veux trois ? Pourquoi pas ?!

Mais le truc, vois-tu, c’est qu’à moins que tu aies deux cerveaux, quatre jambes, quatre bras, quatre poumons, et autant d’yeux, le corps qui se trouve dans le tien… ce n’est pas le tien. Et le corps des autres, ben là, tu vois, c’est pas touche ! Le petit cœur qui bat dans ton ventre, c’est celui d’un ou d’une autre, et donc, simplement, il ne rentre pas dans la case « disposer de mon propre corps ». Capici ?

Tiens, amuse-toi à faire une expérience : file à Bogota, avale un sac de cocaïne et présente-toi tout sourire à la douane à Roissy. Ensuite, une fois passé le scanner qui confirmera ce que tu auras ingurgité, essaie d’expliquer aux douaniers que « ce qui est en toi est toi » et que tu « disposes de ton propre corps comme tu l’entends ». Tu vas vite comprendre.

Il y a un truc qu’il va bien falloir que vous imprimiez, toi et tes copines : nous ne cesserons jamais de crier la vérité, justement parce que c’est la vérité. OUI, ce cœur qui bat, même minuscule, est celui d’un être humain à part entière, qui n’est PAS toi.

Il va falloir que tu piges que malgré plus de 8 millions de bébés assassinés par la loi Veil – et surtout pour eux – nous continuerons d’enseigner la vérité à nos enfants, nous continuerons de leur expliquer la différence fondamentale entre le bien et l’autorisé. Et eux-mêmes transmettront ceci à leurs enfants, que tu trouveras sur ton chemin. Et comme tes enfants, tu les avortes, alors que nous, en revanche, on en a facilement 5, 6, 7, 8… la fin est déjà écrite, non ? Il faudra plus d’un Peillon pour empêcher la vérité de passer…

Il va falloir que tu t’habitues : nous allons continuer d’investir des centaines de milliers d’euros dans les sites web qui disent la VÉRITÉ sur la réalité de l’avortement : c’est un meurtre, qui laisse des traces horribles et indélébiles dans le cœur des mères, et qui, dans certains cas, peut mettre en péril leur future capacité à enfanter.

Vois-tu, tu peux disposer de ton corps autant qu’il te plaira. Si tu savais comme on s’en fout ! Mais jamais, jamais tu ne pourras tranquillement disposer du corps d’un autre sans nous trouver sur ton chemin.

Je suis le vieux médecin qui prie devant l’avortoir, je suis la jeune bénévole qui répond au téléphone à SOS-IVG, je suis ta mère qui te dit « tu es sûre ? », je suis ton fiancé qui se cache pour pleurer parce que tu veux tuer son enfant. Et si tu commets l’irréparable, je serai ta conscience qui ne t’abandonnera jamais, qui te fera compter les mois, les années… « Il aurait eu 20 ans… »

Je suis ton bébé. Touche pas à mon corps.

Ce qui terrifie le plus les idolâtres de la mort, c’est la vérité. Ils la craignent comme la peste, parce qu’ils ne peuvent rien contre elle. Regardez le visage face caméra de Roselyne Bachelot l’autre soir sur Canal+. Observez la bouche qui se tord de l’autre journaliste quand elle dépeint nos sites web et les vérités qu’ils rappellent… Un rendez-vous chez Don Amorth, Mesdames ?

Ce combat que nous menons contre les avorteurs et les euthanazis, c’est celui du Bien contre le Mal, c’est celui des anges contre leurs collègues déchus. Pour cette raison, nous savons que nous avons déjà gagné.

Robin de la Roche

BOULEVARD VOLTAIRE

Commentaires

  • Excellent plaidoyer de Robin de la Roche. Le malheur avec les socialo-mondialistes, c’est qu’ils s’en prennent toujours au plus faible, à celui qui est sans défense et qui est complètement innocent : c’est tellement plus facile de s’en prendre à un bébé qui ne peut se défendre !

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