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Accouchements halal : une réalité communautariste

 

Qu’est-ce qui a donc bien pu se passer début 2013 pour que le bon docteur Jean Thévenot, gynécologue obstétricien de la clinique Ambroise-Paré à Toulouse, en vienne à dénoncer quasi publiquement l’islamo-communautarisation de certains accouchements ? Dans un courrier, que nous prenons soin de mettre en ligne ci-dessous, le célèbre médecin dénonce cette dérive islamiste qui consiste à imposer une certaine manière de pratiquer l’islam à l’ensemble d’une équipe médicale de maternité, le temps d’un accouchement…

« Moment de grand bonheur en salle de naissance
Accouchement de rêve.
Refus de péridurale.
Patiente voilée, le mari ne souhaite pas qu’un homme s’en occupe (bien que largement prévenu à l’avance). Document en cours de grossesse, explications orales.
De garde, j’y vais quand même et m’impose.
Accouchement dans les hurlements et les contorsions, dans la panique maternelle et le père barbu qui donne les ordres à tout le monde.
L’enfant se prénomme joyeusement Oussama ; juste à sa sortie, le père s’est prosterné et a fait sur le sol de la salle de naissance la prière, en direction de la Mecque (direction qu’il avait préalablement repérée).
Puis des chants religieux aux oreilles de l’enfant, à droite, à gauche. Et la mère, il ne la regarde plus, elle a bien servi, et je suppose que le voile va vite être remis sur son visage tentateur.
Ras le bol de cela.
La tolérance a des limites, qui se franchissent chaque jour plus loin.
Dans la ville de Mohamed Merah, je m’interroge sur le devenir de la société dans laquelle je vis et je suis inquiet.
Mes propos ne sont ni racistes, ni discriminatoires ; ils sont ceux d’un praticien inquiet de voir la religion entrer en salle de naissance et dans mon cabinet médical, ceux d’un citoyen inquiet des incivilités qui se multiplient, ceux d’un homme qui a toujours récusé le racisme ordinaire mais qui est troublé par des dérives de plus en plus quotidiennes.

Même si mes propos ne sont sans doute pas politiquement corrects, je voulais vous faire partager ce moment, traumatisant pour toute notre équipe médicale, et mes craintes pour l’avenir de mes enfants dans un pays qui ne sait pas fixer de vraies limites. »

Par la suite, l’obstétricien s’est expliqué sur ce courrier : « Ce n’est pas inhabituel, mais pour l’accouchement dont je parle dans le mail, c’était allé plus loin que d’habitude. » (source)


Cette intrusion violente de rituels musulmans lors de l’accouchement d’une femme voilée à Toulouse (31) l’an passé a mis très mal à l’aise le Dr Jean Thevenot. Président du conseil de l’Ordre des médecins de Haute Garonne, le praticien anime maintenant un groupe régional de réflexion sur la relation entre l’exercice médical et les patients religieux, dans l’optique de créer un outil pratique pour tous les professionnels du soin.
Et d’expliquer :

« J’ai accouché cette patiente dans un contexte très particulier, très tendu pour des raisons médicalement inhabituelles. D’abord, le mari avait exigé que l’accouchement soit réalisé par une femme, alors qu’il n’y avait pas de femme médecin disponible – la patiente était suivie par une de mes associés femme, qui n’était pas là. La parturiente était restée voilée, elle n’avait pas voulu de péridurale. Ensuite, dans les hurlements et les contorsions, la salle d’accouchement s’est transformée en salle de prière, avec le père barbu qui donnait des ordres à tout le monde. Des moments très bizarres. Voilà pourtant dix ans que des affiches et des documents préviennent les patientes qu’elles pourront être accouchées par un homme ou par une femme, et que cela ne pourra donner lieu à aucune réclamation. »

 

Pour notre part, nous pouvons témoigner du fait que ce genre de chose se multiplie dans nombre de maternités de l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (APHP). A Argenteuil, dans le Val-d’Oise, par exemple, mais aussi à Bichat. Ainsi, le 1er février 2012, dans la maternité du célèbre hôpital du 18e arrondissement de Paris, une musulmane, toute de burka revêtue, a accouché dans des conditions pour le moins surprenantes : isolée du reste des patientes, son époux omniprésent donnant ses ordres aux sages-femmes, et si nous n’avons pas eu droit aux incantations et autres chants religieux en arabe, c’était sans doute un oubli de sa part. Ce monsieur insistait de façon presque agressive pour que son épouse soit installée dans une chambre seule, à part des autres, alors que les structures d’accueil de la maternité ne le permettent pas… Ce qui a entraîné un retard de plus de trois heures pour l’admission en chambre des deux autres mamans qui venaient elles aussi d’accoucher, qui ont dû ainsi attendre avec leurs bébés dans un couloir. Pitoyable ! Et personne, parmi le personnel hospitalier, n’a osé remettre à sa place cet individu arrogant. Si Allah est grand et miséricordieux, certains de ses disciples ne le sont à l’évidence pas. 

NPI

Commentaires

  • Ce pays est malade, gangrené par un mal insidieux et difficilement guérissable : la lâcheté. Personne dans le personnel hospitalier n'ose s'interposer, sans doute de peur de passer pour un "facho",et pendant ce temps ces braves barbus font leur loi.
    Le problème c'est que cela se passe dans tous les domaines et dans toutes les institutions, dans l'armée, la police, la ratp, les mairies etc.
    Marine vite, aides-nous, je m'en remets à toi!

  • la république Française sera bientôt codifiée par la charia , que les citoyens (es) non musulmans se préparent à leur futur statut de dhimmis .!!
    salutations.

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