2 juin 2014
Il y a quelques jours, quatre personnes étaient abattues dans le « musée juif » de Bruxelles.
En dépit de l’affaire Merah (et 30 ans plus tôt, de l’attentat de la rue Copernic) où l’« extrême-droite » avait été immédiatement et à tort désignée par la caste politico-médiatique, on a tout de suite entendu à nouveau des « personnes autorisées » pointer du doigt l’opposition nationale.
Ainsi, la Ligue des droits de l’homme belge désignait-elle sans hésiter comme responsable le «contexte européen d’une montée en force des idées d’extrême-droite».
En France, le maire communiste de Montreuil, Patrice Bessac, accusait immédiatement les «forces d’extrême-droite [qui] attisent des haines». Dans le journal Le Monde, un sociologue affirmait que la « première hypothèse renvoie à l’extrême-droite », puis extrapolait doctement sur « l’espace idéologique ouvert aujourd’hui pour des ‘loups solitaires’ s’inspirant d’un antisémitisme d’extrême droite et agissant isolément, ou presque ».
Les premières accusations visaient à influencer l’opinion, appelée à voter le lendemain aux élections européennes.
Un blog illustre l’ambiance à chaud: «Un grand merci à tous les populistes, c’est grâce à leurs discours, réducteurs, haineux, stigmatisants qu’on se retrouve à vivre de tels actes». Un journaliste de LCP (La Chaîne Parlementaire) twitte ce mot d’ordre: «Veille des élections 1 attentat antisémite frappe Bruxelles. Demain, il faut barrer la route au populisme dans les urnes». (source)
Finalement, l’assassin s’appelle Mehdi Nemmouche. Les médias parlent donc maintenant unanimement d’un « Français » (tel le Parisien, couverture d’aujourd’hui ci-contre), insultant encore une fois un peuple dont ils feignent d’ignorer l’identité.
L’individu est un immigré de nos banlieues, criminel multirécidiviste, parti en Syrie chez les rebelles soutenus par Hollande et Fabius, avant de revenir après un an de jihad, sans pour autant être surveillé par la DRCI !
Comme des dizaines de milliers d’autres chaque année, il a été islamisé en prison.
Comme des centaines d’autres, il est parti se battre en Syrie avant de revenir en France encore plus déshumanisé, avec le goût du sang.
Contre-info.com
Commentaires
Depuis 30 ans le Facho est le personnage comique de France. Il se cache mais on le connait bien .Il mange de la baguette et du cochon . Il est nauséabond et bas du front . Aux périodes électorales ,il devient soudain l'homme à abattre / On le poursuit ,on l'insulte , ;on étouffe sa parole ;On lui donne du baton . Mais les temps changent . On s'est mis à l'écouter . Et sa parole étonne .Des droles se mettent à amplifier sa voix . Il gagne des élections . Les vieux partis tremblent et se désagrègent . Si , demain , ce parti nauséabond ,le Fn ,arrive au pouvoir ,prenons garde qu'il nous traite comme nous l'avons traité de tout notre coeur ,de toutes nos convictions
Entre temps ,en gare routière de Saint Charles ,à Marseille un brave petit gars ,natif de Roubaix ,se fait controler au faciés par des douaniers racistes .. Et c"est ainsi qu"avant toute enquéte ,il est déjà accusé d'un drame en Belgique . Et pourquoi pas de Génocide ?
Effet boomerang!
Les djihadistes partis combattre contre le régime syrien avec apparemment la bénédiction des dirigeants français, reviennent en Europe plus aguerris que jamais pour y commettre des attentats antisionistes!...
Français, vraiment?
D'où l'utile distinction entre Français de souche, Français de branche, et Français...de papier!
Roubaix ? Terre d’Islam ! Une fois de plus, les ennemis des patriotes et des FDS, ont cherché à faire endosser cet horrible attentat par « l’extrême droite », comme ils disent ! C’est à croire qu’ils en sont les commanditaires !
pour moi ce n' est pas un FRANCAIS...! GAUTHIER MICHEL 13009