Posté le 30 juillet 2014 à 12h36 | Lien permanent
Mathilde, 25 ans, regagnait son domicile, rue des Pyrénées, à Paris (20e), le 27 juillet vers 3h30 du matin, quand elle a été violée par un multirécidiviste que la justice avait relâché quelques jours plus tôt, au motif qu'il présentait des «garanties de représentation», à savoir un justificatif de domicile fourni par la famille.
Agé de 37 ans, de nationalité guinéenne, qualifié de «sans domicile fixe» par le police, Hamidou B. s'est signalé, dès le 18 mai, par une première agression : deux femmes victimes de tentatives d'étranglement. Le magistrat qualifie les faits de «tentative d'homicide». L'homme finit par être arrêté, le 10 juillet, et, placé en garde à vue, reconnaît les faits. Déféré, placé en détention provisoire dans le cadre d'une ouverture d'information judiciaire, il est finalement laissé libre «car son beau-frère lui a communiqué un justificatif de domicile», déplorent les policiers.
Ce multirécidiviste présumé est arrêté à Paris le 29 juillet avec quatre viols ou tentatives qui pourraient lui être attribués.
Le Salon Beige
Commentaires
Autrement dit quand quelqu’un a un ‘parent’ qui peut produire un justificatif de domicile, celui-ci êut violer qui il veut, il sera laissé en liberté avec les félicitations de la police !
la justice Taubirienne lui trouvera des excuses , dans le style : c,est la petite blanche vétue comme une P . . . qui l,a provoquée . . !!
salutations.
Que Monseigneur Ebola s'occupe de cette vermine !