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Le 23 août 1939 : pacte germano-soviétique et devoir d’oubli !

Car comme chacun le sait l’Histoire est écrite par les plus puissants et les vainqueurs qui masquent leurs turpitudes et leurs crimes –dont celui de Katyn, attribué pendant 50 ans aux Allemands par les juges du Tribunal de Nuremberg, alors que c’était bien les troupes de l’URSS qui étaient coupables- afin de salir encore plus les vaincus. Contrairement à ce que les gouvernements tentent de nous faire croire, le Bien n’est pas forcément où l’on pense et le Mal souvent très éloigné de ce que l’on veut bien nous montrer.

Pacto Molotov Ribbentrop

Il y a déjà 75 ans!
Deux hommes sont à la manœuvre. Joachim VON RIBBENTROP, Ministre des Affaires Etrangères du 3ème Reich allemand, de 1938 à 1945. Le tribunal de Nuremberg le condamna à mort et il fut pendu en 1946. Viatcheslav Mikhaïlovitch SKRIABINE dit MOLOTOV, Commissaire du peuple aux Affaires Etrangères soviétiques de 1939 à 1949, puis de 1953 à 1956. Fidèle de Staline, il fut écarté du pouvoir en 1957 pour avoir voulu éliminer Nikita Khrouchtchev (autre grand humaniste). Il meurt dans son lit en 1986, à l’âge de 96 ans.
Le 23 août 1939, ils signent à Moscou le traité de non agression conclu entre l’Allemagne et l’URSS, dont une annexe prévoit le partage de la Pologne.

La mémoire à l’endroit.
Et pendant plus de sept décennies, aucun prof d’Histoire, de Lille à Nice ou de Colmar à Biarritz, n’a jamais appris à ses élèves que le 24 août 1939 le quotidien « L’Humanité » salue dans ce pacte « une politique à la fois énergique et intelligente, seule conforme à la cause de la paix… ».
Mais le 26 septembre 1939, le PCF est dissous par le gouvernement.
Le 28 septembre, un nouveau traité est signé entre l’Allemagne et l’URSS, après l’invasion de la Pologne, « traité d’amitié et de délimitation des frontières » qui permet ainsi à Moscou et à Berlin de resserrer leurs liens politiques et économiques.
Le 1er octobre, Jacques DUCLOS, premier secrétaire du PCF écrit à Edouard HERRIOT, président de l’Assemblée nationale, pour exiger l’ouverture de négociations de paix avec l’Allemagne.
Le 4 octobre, c’est Maurice THOREZ, numéro 1 du PCF qui déserte sa compagnie pour s’enfuir à Bruxelles, avant de s’installer à Moscou jusqu’en août 1944.

Mois après mois, les communistes français et leurs complices en Italie, ou en Belgique ont été, au début de la seconde guerre mondiale les véritables collaborateurs du 3ème Reich. Du haut en bas de la hiérarchie du PCF, c’est avec conviction et allégresse que les militants appelaient au défaitisme et à la désertion. Dans les usines d’armement, les communistes et leurs complices sabotent le matériel ce qui contribuera à tuer d’innombrables compatriotes en mai 1940.
« Non à la guerre impérialiste », et « Contre les impérialistes de Londres et de Paris » peut-on lire dans la prose clandestine de l’Humanité.

Le 18 juin 1940, la direction clandestine du Parti Communiste Français a très clairement défini sa position : du côté de l’alliance Hitler-Staline !

Le 14 juillet 1940, on peut lire dans le quotidien communiste interdit, l’Humanité : « Au sujet de la fraternité franco-allemande, les conversations amicales entre travailleurs parisiens et soldats allemands se multiplient. Nous en sommes heureux ! ».

OUI, les communistes français (et européens) ont été les premiers collaborateurs avec l’Allemagne nationale-socialiste, aidés par les valets de la finance apatride, et ce, jusqu’au 22 juin 1941 – soit pendant presque 2 ans – ils ont encouragé et soutenu la politique menée par Adolf Hitler.
Aujourd’hui, les marxistes et leurs alliés peuvent tout juste « fermer leur gu..le », arrêter de nous donner des leçons de civisme ou de patriotisme et retourner dans les poubelles de l’Histoire ! Crapules !

Pieter KERSTENS

ALTERMEDIA

Commentaires

  • Merci à Pieter Kerstens pour cet important rappel historique que tout VRAI démocrate devrait connaître On y apprend que déjà en 1939 les communistes sabotaient les armes françaises et c’est ce qu’ils ont continué à faire lors des guerres d’Indochine puis d’Algérie. Et ce sont ces criminels que les merdiats et les politiciens au pouvoir depuis 70 ans continuent d’encenser !

  • Bravo ! Ces choses devaient être rappelées !
    "Pas plus qu'une hyène ne lâche une charogne, un marxiste ne renonce à trahir sa patrie !" Mein Kampf

  • Le distingué Marc Bloch , homme de la gauche avancée , a pris soin de nous confier les réflexions que lui inspirait son métier d'historien . Il conseillait à ceux qui voudraient enseigner cette discipline d'éviter de la transformer en un tribunal où l'historien plaiderait la cause qui lui est chère .
    Le célèbre médiéviste ne fut guère entendu .
    Il est facile de condamner aujourd'hui ce qui n'allait pas de soi pour ceux qui vivaient les événements qui précédèrent la Seconde guerre mondiale .
    Trop facile , d'autant que le conflit fut déclenché par le Royaume-Uni et ses larbins parisiens en faisant fi des règles de la démocratie .

    Faut-il ajouter que nombre d'officiers supérieurs allemands formés par l'Armée rouge se réjouissaient de voir les deux puissances socialistes se rapprocher et contester les plouto-démocraties ?
    Bien sûr , nos intellos , nos génies auto-proclamés de la rue d'lm ne partageaient pas tous cet enthousiasme . La belle affaire !.
    Ces intelligences supérieures n'étaient que des bêtes à concours et ils ne comprenaient rien au monde qui les entourait . Lisez Tartre et son égérie de Lesbos , si vous en doutez
    Le socialisme russe , n'en déplaise aux mânes de M. Thorez et du petit pâtissier , n'était pas transposable dans notre pays . Celui du voisin allemand aurait mieux convenu .
    Le hic , c'est que le maître du III° Reich ne voulait surtout pas d'un fascisme français , ce que Pierre Drieu La Rochelle ne fut pas le seul à comprendre .

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