Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Forces tusses "sans précédent" à la frontière ukrainienne selon le Pentagone

4110193_9f283c3e174acf32ba46bfc2e39ba8235b8a498c_640x280.jpg

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/forces-russes-sans-precedent-a-la-frontiere-ukrainienne-selon-le-pentagone-04-09-2014-4110193.php

Commentaires

  • Le parisien est bien gentil de nous donner l’avis de l’OTAN sur ce qui se passe en Ukraine, mais il ne nous donne jamais l’avis des russes ou des ‘rebelles’ !

  • Poutine ne se laissera pas intimider par les menaces US !
    Plus celles-ci augmenteront, plus le nationalisme russe s'exprimera comme l'explique très bien Henri Guaino ailleurs sur le blog ! Le Pentagone finira par se trouver dans une impasse. Que peut-il faire ? Lancer un ultimatum à Moscou, qui détient des stocks considérables de bombes thermonucléaires, avec tout ce qu'il faut (fusées, sous-marins…) pour caraméliser 100 fois la planète ? Ce type d'ultimatum a déjà débouché sur deux guerres mondiales.
    Il se trouve malheureusement des fous à Washington, dans les plus hautes sphères du pouvoir, ou pire, dans l'Etat profond, prêts à cela.
    Encore une fois, la solution ne peut être que fédéraliste, avec l'octroi d'un statut particulier pour le Donbass, par exemple comme région autonome d'une Ukraine fédérale. Mais Porochenko n'en veut pas, il veut un Donbass à genoux, mais n'a pas les moyens d'y arriver !
    Il sera contraint de devoir accepter un Donbass indépendant…qui rejoindra rapidement la Russie.

  • Extrait d'un commentaire de D.Jamet sur Bd Voltaire de ce jour, qui permet de mieux comprendre ce qu'il se passe dans la tête de Vladimir Poutine, indépendamment de ses motivations géopolitiques jamais absentes :

    "Dans le conflit fratricide qui ravage l’Ukraine, conflit où s’ingèrent de plus en plus grossièrement les États-Unis d’Amérique et leur bras armé (l’OTAN), la Russie a pris le parti des rebelles séparatistes qui, sur sa frontière, sous ses yeux, à portée de sa main, se battent en son nom, sous ses couleurs, sous son drapeau. Il faut bien comprendre, même si cela n’est pas conforme à la tradition française d’abandonner – comme au Vietnam, comme en Algérie – ceux qui se sont engagés pour elle, que Vladimir Poutine ne lâchera pas des hommes qui ont cru à sa parole et comptent sur son soutien."

Les commentaires sont fermés.